Ar Prins Rû

Nom / Prénom :
Ar Prins Rû

Pays d’Origine :
Forêt de Brocéliande, au cœur de la Bretagne…

Parents / famille :
Fils de Deirdré, Reine des Korrigans, et d’un simple mortel.

Age / Date de naissance :
Imprécise, probablement au VIe ou au IIIe millénaire avant J-C, lors de l’érection des grands Menhirs de Carnac.

Année d’étude :
Ignorant tout de ses pouvoirs pendant longtemps, Ar Prins Rû ne les utilisa que accidentellement et ne put donc s’exercer… il apprit les bases de sa magie avec le temps, mais il lui reste beaucoup à apprendre, c’est pourquoi il débute ses études en seconde année.

Apparence physique / personnalité / passions / handicaps :
Ar Prins Rû a hérité de quasiment tout de la race de sa mère, son extraordinaire longévité, et surtout son apparence. La chevelure de AR Prins Rû est mi-longue, et d’un roux pur qu’on ne trouve que chez les Korrigans. Son visage est légèrement potelé, et muni de deux grandes oreilles en pointes, qui traverse à l’horizontal sa chevelure en bataille. Ses yeux sont d’un blanc vif, au centre d’étranges cercles, ce qui empêche de savoir où il regarde et qui provoque la désagréable impression d’être à nu devant ce mystérieux personnage. Légèrement plus bas, un nez tout en largeur surplombe une large bouche qui affiche constamment un sourire narquois, laisse penser qu’il connaît nos secrets les plus intimes… Ses mains et ses pieds toujours nus sont munis de griffes inquiétantes, mais dont il ne fait jamais usage, ou seulement en cas d’extrême nécessité, comme ouvrir les boites de conserve, graver son nom sur les bancs, ou autres cas de force majeure.
Ar Prins Rû est un peu rondouillard, sans être gros, relativement petit, et porte des vêtements amples : un maillot de corps gris sale, serré par de vieux lacets usés au niveau du cou, une veste bleue à haut col, et qui lui descend jusqu’au niveau des genoux. Les boutons dorés dont elle est munie semblent être les seuls objets de valeur qu’il possède, bien que les Korrigans soient réputés pour le trésor qu’il protège. Un pantalon de toile pourpre déchiré en de nombreux endroits est retroussé de manière à lui arriver à la hauteur des tibias.
Il se déplace avec une allure de seigneur malgré son apparence de mendiant, et est particulièrement courtois et respectueux avec ceux qui sont courtois et respectueux envers lui, mis a part dans le cadre de ses plaisanteries trop souvent de mauvais goût.
Malgré tout cela, Ar Prins Rû reste un personnage amusant, parfois comique de part ses acrobaties, ses gaffes, et ses grimaces. Il ne se gène pas pour aborder n’importe qui dans les couloirs pour lui faire quelques remarques parfois obscènes… Bien qu’il puisse parfois faire preuve d’une sagesse sans pareil que le temps lui a conféré, il peut également se montrer immature et immoral en certaines circonstances, ce qui lui vaut parfois l’antipathie voire la haine de bien du monde.
Aussi, il possède une riche connaissance de la nature, et connaît évidemment toutes les légendes bretonnes, et peut passer des heures au creux d’un fauteuil près de la cheminé, une bolée de Cidre a la main, à conter l’histoire d’Edern, le capitaine de la Marie-Galante, amoureux d’une sirène, ou de Kaour et Laouig les frères bossus, qu’il a lui-même rencontré…
Ses passions sont comme tout Korrigan qui se respecte la danse, le chant, la musique et les contes… Mais Ar Prins Rû a un goût très prononcé pour tout ce qui est Art en général. Il joue de la bombarde, instrument traditionnel breton, et voue un véritable culte à la Bretagne. Il aime également rester sous la pluie des heures durant à laisser son esprit s’échapper, se promener les jours de grand vent sur les falaises, et regarder les vagues se fendre sur les rochers, se fracasser sur les grèves de sable blond, observer au loin les vaillants pécheurs bravant la tempête à bord de leur bicoque, priant de tout leur cœur de ne pas laisser ce soir une veuve à leur foyer… Platon disait : « Il ya 3 catégories d’hommes : les vivants, les morts, et les marins. ». C’est bien pour cela que Ar Prins Rû respecte plus que tout au monde ces hommes en permanence au bord de la mort : on se demande à chaque instant s’ils sont encore de ce monde…

Pouvoirs / maison :
Ar Prins Rû possède peu des innombrables pouvoirs qui sont généralement attribué à la race des Korrigans. A sa naissance, il en possédait une multitude, seulement, le manque d’utilisation les fit disparaître, ou les laissèrent lacunaires. Il n’en conservait que 3 : la télékinésie, l’empathie, et la métamorphose. Mais le fait qu’il ait vécu seul, et loin du peuple de sa race, il n’a pas apprit comme eux à s’en servir, c’est pourquoi, son pouvoir de télékinésie s’estompa peu à peu de ses gènes jusqu’à disparaître complètement. Quant au pouvoir de métamorphose, le sang humain l’a estropié : Ar Prins Rû peut se métamorphoser, mais ce sont ses sentiments qui provoquent la transformation, et jamais le korrigan ne pourra maitriser ce pouvoir, qui lui est par conséquent totalement inutile, et même gênant. C’est d’ailleurs ce pouvoir qui a fait que Ar Prins Rû a effrayé toute une population du Tibet, lorsqu’un jour de colère intense il se métamorphosa en animal étrange, que la population appela Yéti, qui était en réalité un croisement entre un ours polaire, un homme, et divers autre animaux. mais ce pouvoir ne transforme pas Ar Prins Rû lui même à chaque fois : bien souvent, c'est le milieu qu'il modifie, par exemple lors de grande tristesse, il pleut sur lui, ou lors de grand moment de honte, un nuage de fumée opaque se matérialise autour de lui... On peut considérer que ce pouvoir est plus ou moins permanent, mais tout de même inutile, si ce n'est que cela laisse parfois voir aux autres ses sentiments. La seule magie que le temps et la liaison illégitime de ses parents lui ont laissé indemne est l’empathie. C’est pourquoi il se trouve dans la maison des Psychokeneses.

Histoire :
Né en Brocéliande d’une liaison illégitime entre Deirdré, reine des Korrigans, et d’un humain, Ar Prins Rû, « Le Prince Rouge » en breton, après quelques millénaires au royaume des Korrigans, le quitta car il ne se sentait pas réellement chez lui, puis, au XIIe siècle, fut élevé par un vieil ermite, qui comprit bien vite qu’il avait à faire à un héritier de Deirdré, de par ses pouvoirs étonnants, bien que rares, et sa croissance plus que ralentie. Le sang korrigan étant plus fort que tout autre, sa demi-appartenance à la race humaine se manifeste uniquement par le fait qu’il n’ait hérité que d’un nombre très réduit de pouvoirs propres à la race de sa mère. Le vieil homme lui offrit une mystérieuse bénédiction le jour où une terrible toux le clouait à la paillasse, et qu’il sentait sa fin proche… Ar Prins Rû, sur la demande du vieillard, le laissa seul dans la chaumière, afin de laisser faire la maladie. Il sillonna la Bretagne, alors Armorique. Il partit ensuite en actuelle Ecosse, afin de rendre visite à ses cousins éloignés les Farfadets, qu’il n’apprécia pas vraiment, du fait de leur manque d’humour, de leur avarice et de leur cupidité… Il y rencontra également le célèbre monstre du Loch’Ness, une créature avec qui il lia une profonde amitié. Cependant, Ar Prins Rû le quitta peu de temps après leur rencontre, afin d’explorer le monde à la recherche d’un lieu où il pourrait vivre sa longue existence en paix.
Il traversa l’Amérique, encore inexplorée, où il s’installa un long moment, jusqu’à ce que, en 1620, les Pilgrims Fathers (les colons) débarquent et massacrent les peuples pacifiques du « Nouveau Monde ». Le semi-Korrigan fuit alors cette guerre sanglante, non sans tenter quelques interventions magiques pour sauver ceux qui le pouvaient encore être. Il descendit ensuite en actuelle Amérique latine, en traversant les Caraïbes. Il vécut plusieurs années au cœur de la forêt amazonienne. Il finit malheureusement par trouver cette forêt bien trop dense et étendue à son goût, lui qui fût élevé en Brocéliande. Il quitta donc cette végétation luxuriante, pour partir en direction de l’Asie, à travers l’Océan Pacifique, à bord d’un navire marchand dans lequel il avait embarqué clandestinement, et débarqua au Japon. Il erra en Asie, mais sans trop s’attarder, la culture et la mythologie asiatique ne lui plaisant guère. Il trouva cependant une compagnie intéressante au cœur du Tibet, où on lui enseigna les bases de l’empathie et de la télékinésie… Il quitta les sommets tibétains quelques mois après qu’il s’y soit arrêté, pour se diriger vers Malaisie, puis l’Australie, pays dont les paysage laissèrent le Prince Semi-Korrigans sans voix. C’est pourquoi il prit plus de temps qu’il ne comptait pour traverser le Grand Désert de Sable et le Grand désert Victoria, qui ne seront baptisés ainsi que plus tard… Il partit ensuite pour les Indes dans un radeau de fortune qu’il avait lui-même construit, et des Indes (qu’il avait déjà visité), il partit, de nouveau à bord de son radeau, baptisé Deirdré, en Afrique, encore libre et inexplorée par les hommes blancs. Là aussi, Ar Prins Rû fut émerveillé devant les paysages, notamment le désert de Namibie. Bien que totalement différent de la Bretagne, l’absence de mer à proximité fut la seule chose qui fit que Ar Prins Rû ne s’y installe pas, et quitte le continent. Il retourna en Europe par l’Arabie et la Turquie, et la visita entièrement, avant de retourner en Bretagne. Il comprit alors que sa vie était la mer et la Bretagne, et que rien au monde ne pourrait la chasser de son cœur… Car elle en est l’essence même.
Mais Ar Prins Rû ne put s’installer définitivement en Bretagne avant d’aller conter son épopée à sa vieille amie du Loch’Ness. Il se rendit donc en Ecosse, et resta jusqu’en 1950 à vivoter au bord du lac, en compagnie de son amie. Mais, depuis 1933, date à laquelle un chirurgien londonien prit une photo de la créature, celle-ci songeait vivement à quitter son lac pour pouvoir vivre en paix, loin des touristes qui se faisaient de plus en plus nombreux. Ar Prins Rû et son amie se quittèrent donc en sachant qu’ils ne se reverraient sans doute plus, et ce fut pour le korrigan la plus profonde des tristesses jamais éprouvée depuis la maladie de son vieil ami l’ermite.
De retour en Bretagne, le pauvre korrigan se demandait s’il pourrait un jour à nouveau être heureux, comme durant ce siècle en compagnie de son amie. Il s’installa sur les îles de Glénan, pour vivre sa solitude dans la paix et la sérénité. Il vécut ainsi plusieurs années, avec pour occupations principales, l’entrainement à l’empathie sur les animaux, la télékinésie ne lui convenant pas (il abandonna d’ailleurs totalement ce pouvoir qui s’éteignit de lui-même), et la recherche de renseignement sur les légendes Bretonne qu’il avait malheureusement ratées lors de son tour du monde plus que prolongé. L’une de ces légendes lui révéla d’ailleurs un détail qui le concernait, sans qu’il ne se soit jamais douté de rien : Une légende, dont les premiers écrits dataient du XIIe siècle, évoque un Mage très puissant qui vivait non loin de la forêt de Brocéliande, et qui l’on nommait Merlin. Connaissant plus que quiconque la Brocéliande du XIIe pour y avoir vécut justement à cette époque, il s’intéressa de plus près à cette légende, et trouva un jour une gravure datant du début du XIIIe siècle, représentant l’enchanteur. Aucun doute n’était possible : c’était le vieil ermite qui avait recueilli le Korrigan il y avait plusieurs siècles… Le vieillard n’était pas mort de sa maladie, mais en avait profité pour le faire croire, afin de ne pas dévoiler sa nature en révélant sa longévité anormalement longue. Selon la légende, Merlin serait le fils d’une femme native d’Atlantide (ou Atlantis), Charis, fille du Roi Avallach d’Atlantide, et du Prince Taliesin, fils d'Elphin, Roi de Caer Dyvi. La légende raconte également que Merlin, éperdument amoureux de la fée Viviane lui confia le secret pour se lier à quelqu’un à jamais. La fée Viviane utilisa la magie contre l’enchanteur lui-même, alors qu’il était endormi, et l’emprisonna pour l’éternité dans la forêt de Brocéliande. Ar Prins Rû, lorsqu’il apprit cela, se promit qu’un jour il ferait tout ce qu’il lui serait possible afin de délivrer le père qu’il n’avait jamais eu…
Cette nouvelle lui assombrit encor plus le moral, et il réfléchissait aux moyens qu’il pourrait mettre en œuvre afin de trouver et de délivrer Merlin lorsqu’un un jour, alors qu’il était sur la grève à pécher, le sourire réapparut sur ses lèvres. Au large, le korrigan reconnut sans difficulté la silhouette fine et gracieuse du cou de sa vieille amie. Depuis toujours, Ar Prins Rû avait été attiré par la mer. Il pensait qu’en tant que Breton, cela était tout à fait normal, mais ne sachant pas nager, il ne s’était jamais réellement aventuré dans l’eau. Mais ce jour là, lorsqu’il avait vu apparaître son amie au large, il n’avait pas réfléchi, et s’était jeté à l’eau. Il avait alors senti son corps léger et son esprit libre tout en étant attiré vers les profondeurs de l’Océan. Il résista à cette tentation de plonger vers l’abysse, et gesticula dans l’espoir d’atteindre son amie. La nage lui vint instinctivement, et il rejoignit son amie plus vite qu’il ne l’aurait pensé, la joie dirigeant ses mouvements. Arrivé auprès de son amie, le Korrigan l’enlaça comme on enlace la personne qui donne un sens à notre vie. Il conta, après de longues et émouvantes retrouvailles, son histoire depuis leur triste séparation, et la créature du Loch’Ness en fit autant. Elle avait donc quitté le lieu de toute son existence, et expliqua à Ar Prins Rû que bien que l’eau de mer lui fut désagréable au début, elle s’y était faite, et avait sillonné toutes les côtes de la Bretagne pendant près de 50 ans dans le but de retrouver son ami, pour lui proposer quelque chose qui changerait totalement la vie du petit être aux oreilles en pointes : Nenkin-Ame. Lorsque que la créature fut sortit de son lac, elle découvrit assez rapidement un lieu étrange, une école, au fond des Océans, reconstruites sur les vestiges de la légendaire Atlantide, et où l’on apprenait à maitriser des pouvoirs que l’on possédait sans savoir s’en servir. Connaissant les pouvoirs lacunaires de Ar Prins Rû, elle avait décidé de tout faire pour retrouver son ami et pour le mettre au courant. C’était fait. Nessy, comme l’avaient nommé les touristes d’Ecosse, expliqua donc au korrigan comment s’y rendre : ne pas résister à cette attirance vers les Abysses.
De nouveau, les deux amis se quittèrent, mais cette fois, avec la promesse de se revoir. Nessy passerait à Atlantis rendre visite à son compagnon.
Ar Prins Rû, une fois les adieux terminés, ferma les yeux et se laissa simplement envahir par cette sensation de bien-être que lui procurait l’eau, Il sentait son corps s’immerger totalement, sans brutalité, attiré par une force douce et mystérieuse. Un silence total l’enveloppait, lui permettant d’apprécier ce moment de plénitude, qui lui parut comme un retour à la source. Il sentait l’étrange force de plus en plus proche de lui, presque palpable, jusqu’au moment où cette force fut en lui. Ar Prins Rû sentit tout à coup un sol froid contre sa joue. Il ouvrit les yeux, lentement, se redressa, et admira ce qui l’entourait. Il se tenait debout, au beau milieu d’un hall gigantesque, de style grec ancien. Il était à Atlantis.

WAOW ! on a de la lecture !!!!
bienvenue !

j'ai adoré!
ça a du te prendre beaucoup de temps, dis donc, d'écrire tout ça, bravo!
Je suis impatient de te voir en rp!
Bienvenue!

Il est vrai que ça m'a pris pas mal de temps à écrire tout ça, mais je me suis bien marré! en fait ça m'a pris plusieurs jours ^^ , parce que je me suis appuyé sur plusieurs évènements historiques, j'ai fait pas mal de recherches sur diverses légendes etc... et en même temps, vu son age... ça aurait été baclé de faire son histoire en 10 lignes ^^ .

Merci pour cet accueil !

attention sa rigole plus ! c'est cool ! c'est bon j'ai terminé de lire, ça me plait !!

Serait-ce le fameux lapin de la fête du lycée?

je n'essayerai pas de comprendre ... il ne vaut mieux pas je pense

Mais qui est-tu donc pour connaitre des secrets aussi intimes de ma vie privée ????? ouaouw ! tu t'imagine même pas à quel point je me sens con devant mon ordi !!! Quels détails t'ont donc rendu si sûr de te trouver en ma présence ? Tant de question se bouscule dans ma tête !!!

N'empêche que je me suis bien marré en lapin !!! ^^

Nous aussi

bon. Voila ma théorie : Etant donné que mon perso est tout comme moi même amoureux de la Bretagne, quelqu'un qui me connait bien pourrait se dire : "tiens, ça plairait à ******" (pour ne pas me nommer ^^). Mais Il doit y avoir un autre détails qui fait que tu étais sûr qu'il s'agisse de moi. Soit tu étais l'une des rares personnes à être au courant de mon arrivée imminente sur Nenkin-Ame ET qui étais toi-même inscrit à cette même école, sois ya un autre indice que je n'ai pas découvert, sois tu es trèèèèèèèèèèèèèèès fort... Je pense qu'il s'agit de la 1ère solution, a la limite la 2ème, mais certainement pas la 3ème !

Pourriez-vous, je vous en pris, décliner votre identité...

Bonjour, monsieur Anderson

pourquoi monsieur Anderson? ça devient compliqué ces histoires..^^'

Bon j'avoue tout, j'ai un don de télékinésie qui me vient d'un lointain ancêtre enterré en Guadeloupe. Si on ajoute mes origines grèques à ce don, cela explique le fait que je sois devin et plus particulièrement nécromancien. Ainsi alors que je répandais mes ingrédients sur un rat mort, je fus éclairé comme quoi tu étais ****** et non ***** ou bien *********. Bon, plus sérieusement, je suis dans ton ancien lycée et fait du théâtre avec *****

Ah zut ça va me retomber deçu ça
Il va devenir furieux et se transformer en Georges !

J'ai riiiien faiit ! J'ai juste dit que tu t'inscrivais

Kof, keuf.

En tout cas bienvenu !
Je te l'ai déjà dit mais je le répète, ta fiche est tout simplement géniale

Ps : Charly, prends garde à ma colère...

STOOOOOOOP

Trop de flood tue le flood !!!!

T'étais bien en Elvis aussi! P'têt toi qui m'a donné envie de me mettre au rock même si j'excelle pas et que j'ai raté plusieurs séances.

C'était la minute révélation de la vie mouvementé de Dupont.

Bon, je considère que ton unique pouvoir est Mr-Météo-exhibe-ses-sentiments (comment le nommer autrement? ), étant donné que tes dons de métamorphose et de télékinésie sont quasiment inutilisables et incontrôlabes, d'accord?

En retard, monseur le lapin, en retard...!!

Ma boule de cristal israëlienne m'avait en effet prévenue de l'arrivée imminente d'un lapin muni d'une montre qui aimait se donner en spectacle à une certaine fête où passaient, d'ailleurs, certains moines cénobites que je ne citerai pas ^^.

Bref, bienvenue à nenkin amé... Et je suis heureuse de t'y voir, d'autant plus que je connais bien ton visage, derrière cet écran!

oh oh oh...

Trop de mes secrets ne sont plus des secrets ici...
Je crois vous avoir reconnu chère directrice... seriez-vous, par le plus grand des hasard, l'élégante petite soeur d'un ancien camarade de classe à moi ?
Quant à vous cher M. Pandore, il n'est pas très malin de votre part de cacher votre identité, alors que votre adresse msn, que chacun peut consulter, nous révèle votre véritable identité...

J'aimerais également vous dire que je ne suis pas volontairement M Météo-exhibe-ses-sentiments. Et je ne sais pas exactement comment utiliser mon pouvoir d'empathie.

Bref... D'abord, moi je suis un semi-korrigan et pas vous ! Na !

Parfait. Eh bien, c'est bon.

Meuh j'ai jamais dit que je cachais mon identité
Il semblerait juste que vous ne m'ayez jamais rencontré, à moins que mes prouesses intellectuelles et ma beauté divine eussent atteint vos petites oreilles de korigan...

en effet, bien que je dispose a présent de ton nom, il me reste inconnu. mais j'ai lancé plusieurs espions à ta recherche... et il ne manqueront pas de me faire leur rapport...
Et bien, à bientôt sans doute cher Charles Pandore...

Eh bien, je crois, éminent demi-Korigan, que vous ne vous êtes pas trompé...! Et j'en suis ravie

Non, redevenons sérieux. Bienvenue!

... le prochain d'entre vous qui m'accuse de faire du flood ... c'est pas à un lapin qu'il va ressembler