Lilura Zoraldi

Nom / Prénom : Lilura Zoraldi

Pays d'origine : France. Lilura se vente parfois de ses origines basques, qui expliquent la sonorité originale de son nom, mais n’a en réalité hérité d’aucunes culture basque. Ses parents se sont séparés lorsqu’elle avait un an, elle a alors quitté Biarritz et son père pour Paris avec sa mère. Son père est partit en Espagne et elles l’ont perdues de vu, même s’il a toujours honnêtement envoyé des chèques de pension alimentaire. Maintenant elles habitent Verrières-le-Buisson dans l’Essonne (dans la région parisienne).

Parents / Famille :

Père : Dunixi Zoraldi, 38 ans. Sans pouvoir, il a grandit à Saint-Jean-de-Luz. Il a rencontré Madeleine à Bidart, durant leurs études communes d’ingénieurs à ESTIA (Ecole supérieure en Technologie Industrielle Avancée). Il réside maintenant quelque part près de Barcelone en Espagne depuis son divorce avec Madeleine. Il est finalement devenu agriculteur de tomates.

Mère : Madeleine Gracieux (nom de jeune fille : Guine), 37 ans. Sans pouvoir, elle a grandit à Biarritz. Après son divorce, elle est remontée à Paris avant d’avoir finit ses études. Elle a été prise en charge par un centre psychiatrique à Paris quand Dunixi l’a obligé à voir un docteur. Elle est restée un mois à l’hôpital, qui a assuré que Madeleine ne souffrait d’aucunes graves maladies mentales. Mais à cause des nombreux témoignages de l’ESTIA, de Dunixi et d’amis de Madeleine, ils ont décidés de la garder à proximité du centre psychiatrique à Paris (ce qui explique son déménagement à la Verrière). Etant psychologiquement surveillée, elle a pu garder la garde de sa fille, et elle reçoit une pension d’invalidité, car déclarée inapte au travail. Elle passe ses journées à faire de la création artistique, particulièrement des mosaïques et de la peinture sur bois.

Presque beau-père (à un jour près) : Fabrice Gracieux. Parisien, travaille dans les ressources humaines d’une entreprise. Il a rencontré Madeleine lors d’une exposition de ses meubles en bois peints. Ils sortent ensembles depuis 2002, donc bientôt 5 ans. Ils allaient se marier (enfin essayaient..) lorsque Lilura a été appelée par Nenkin Ame.

Age / date de naissance : 17 ans (Elle est née le 12 février 1990.)

Année d'étude ou Métier : 1ère année d’étude, car elle ne connaît même pas l’existence de ses pouvoirs, et même si elle apprend à les connaître par la suite il y a peu de chance qu’elle puisse les maîtriser un jour.

Apparence physique : Lilura ressemble physiquement énormément sa mère. Elle est de taille moyenne et de constitution faiblarde. Son air efflanqué, ses cheveux auburn et mi-longs perpétuellement en bataille, son manteau trop grand en cuir, ses yeux gris qui lui mangent trop le visage, tout cela lui donne un air fragile et négligé. Elle a un visage expressif, qui passe rapidement du rire à la méfiance, et qui rougit pour un rien. Elle cache mal ce qu’elle pense.

Maison / Pouvoirs :

On peut se demander si la schizophrénie que Lilura a développer pendant son adolescence a un rapport avec son pouvoir, mais ce qui est sûr c’est qu’elle a toujours eu le pouvoir d’insuffler des changements momentanés dans l’équilibre mental des gens, et ce bien avant la naissance (le cas de Madeleine le démontre très bien). Toutefois, depuis l’affirmation de sa schizophrénie, un deuxième pouvoir qu’elle ne connaît pas non plus est apparu : celui de faire disparaître des petits objets.

Elle a donc deux pouvoirs dont elle ignore l’existence et qu’elle ne maîtrise pas du tout :

Elle inspire chez les gens des maladies mentales (mythomanie, cleptomanie, schizophrénie, dépression, autisme, érotomanie, hallucinations, complexes, angoisses, boulimie, …) ou juste d’un trait de caractère (tête brûlée, irritable, distrait, timide, …) ou encore des phobies (claustrophobe, agoraphobe, phobie des araignées, des chiens, du feu, …). Cela arrive si sa peau entre en contacte avec la peau d’une autre personne (les vêtements, les boucliers mentaux et physiques font donc barrage). La nature de la folie, sa puissance et sa durée (qui sont habituellement de quelques secondes ou minutes, mais peuvent aller jusqu’à trois heures) peuvent donc complètement varier, et sont précisées HRP. Lors du contacte, les personnes ne sentent pas de « courant magique » ou quelconques indices qu’ils sont sujets à de la magie.

Elle peut faire disparaître des petits objets dénués de vie ou de magie, mais ne peut en aucun cas en faire apparaître ou annuler la disparitions de ses objets. Peut-être avec le temps elle se rendra compte de ce pouvoir, mais pour l’instant elle croit toujours les perdre ou se les faire voler.

Passions / Talents / Handicaps :

D’une curiosité naturelle, elle est touche à tout et très douée lorsqu’il s’agit d’apprendre de nouvelles choses. Elle est un peu timide et rougit pour un rien, mais cela est plus craquant qu’handicapant. Mais parfois elle devient rêveuse et n’enregistre plus rien ou a du mal à les interpréter. Pendant ces périodes elle a du mal à faire la part des choses, est à côté de la plaque et peut être irritable. Schizophrénie en développement, qui peut dériver vers d’autres maladies mentales.

Elle adore les jeux de hasards, les paris, les défis. Elle a une attirance particulière pour le poker. Elle aime aussi beaucoup la création en générale, et même si elle n’a de talent pour rien, elle est débrouillarde. Donc l’idée de coudre un costume, de monter un spectacle ou de construire une cabane l’amusera beaucoup.

Ce qu’elle n’aime pas du tout, c’est le sport. Elle reste maigre malgré les quantités importantes de nourritures qu’elle avale (c’est génétique), et n’en voit pas l’utilité. Elle est donc ni forte, ni souple, ni rapide, ni endurante.

Escusez l'histoire un peu trop longue, je m'emporte un peu dans mes écrits parfois ... Enfin, en bref il suffit de savoir qu'elle a eu une enfance heureuse, sans être consciente que son pouvoir a fait beaucoup de mal autour d'elle, qu'elle vit seule avec sa mère, qu'elle croit à un complot à cause des objets qui disparaissent autour d'elle, et qu'elle est amoureuse d'un mec qui s'appelle Nicolas. Le reste c'est du roman lol



Son histoire :

L’histoire de Lilura commence avant sa naissance.

Dunixi Zoraldi a 18 ans et vit à Saint-Jean-de-Luz (sud de la France, près de l’Espagne et de l’Atlantique) quand il décide en 1987 de commencer une école d’ingénieur à Bidart, à ESTIA (Ecole supérieure en Technologie Industrielle Avancée). D’origine basque, sa famille est éparpillée en France, en Espagne principalement et aux Etats-Unis. Il est bon vivant, aime l’art, la poésie et la science.

En 1988, Madeleine a 18 ans et habite à Biarritz. Elle entre dans la même école un an après Dunixi. Ils s’y rencontrent. Elle aime beaucoup l’art comme lui, ils se trouvent des points communs, s’entendent très bien et tombent amoureux. Ils filent le parfait amour et un an plus tard ils vivent ensembles et construisent des projets d’avenir à deux.

En fin 1989, Dunixi a obtenu son diplôme et cherche un métier dans les environs, au moins pour la dernière année d’étude de Madeleine. Madeleine tombe enceinte. Ils sont jeunes, mais ce n’est pas si grave selon eux, Dunixi aura bientôt un métier, ils veulent le garder. Parce que les parents de Dunixi sont très catholiques, il se fâche avec eux, après son mariage avec Madeleine un peu en catastrophe. Quand aux parents de Madeleine, ils acceptent avec résignation et chouchoutent leur fille.

Madeleine semble vivre très mal sa grossesse et son récent mariage. Elle pique des crises nerveuses, ses angoisses l’empêchent de dormir la nuit, elle devient stressée, névrosée. Le jeune couple n’arrive plus du tout à s’entendre. Parfois, Madeleine a des délires, des hallucinations. Dunixi s’inquiète pour elle, mais Madeleine ne veut rien entendre, pour elle tout est la faute de Dunixi qui ne l’aimerait plus comme avant, qui détesterait l’enfant avant qu’il naisse. Les parents de Madeleine décident d’héberger leur fille, pensant que c’est le couple qui bat de l’aile. Ils sont toutefois obliger de constater que c’est la santé mentale de leur fille qui a complètement basculée. Avec Dunixi, ils obligent Madeleine à aller voir un psychiatre. Dunixi tente de sauver le couple, malgré les hallucinations de sa femme qui empirent tous les jours.

Elle accouche le 12 février 1990 d’une petite fille : Lilura. Son état mental se stabilise, mais reste préoccupant. Elle continue à se croire détestée par son mari, elle ne veut plus se laisser touchée par lui, elle ne veut plus lui parler, elle ne veut plus qu’il voit l’enfant, car elle a peur qu’il essaie de la tuer. Elle supplie tant et tant qu’on l’écarte de lui que le psychiatre choisit qu’on l’envoie dans un hôpital psychiatrique à Paris, donc très éloigné de l’Aquitaine. Lilura reste avec son père, qui tombe en dépression, et frôle dangereusement l’alcoolisme.

Cependant, l’hôpital renvoie un mois plus tard Madeleine, qui ne présente aucun signe de folie. Il déclare que sa grossesse l’a peut-être un peu perturbée. Elle revient à Biarritz chez ses parents et reprend la garde de Lilura. Très vite, son ancienne folie la reprend, et elle refuse de voir son mari. Le psychiatre en conclue à un délire paranoïaque et à une retombée en enfance. Il conseille à Dunixi de rester éloigné de sa femme et de sa fille pendant quelques temps, le temps que sa maladie soit écartée. Madeleine, elle, demande le divorce et veut s’installer à proximité de Paris loin de son mari. Dunixi, écoeuré, et dont la dépression a rapidement grignoté sa volonté, abandonne la partie et lui laisse le divorce. Il est jeune, et réussit à se refaire une vie en Espagne avec l’aide de sa famille. Il se remet de sa dépression et devient même heureux quelques années plus tard. Il a complètement changer de vie : il a un nouveau pays, une nouvelle famille et un nouveau métier (il devient agriculteur de tomates). Résigné par la maladie de Madeleine, il coupe les ponts avec son ex-femme et sa fille, si l’on excepte les chèques alimentaires. Régulièrement, les parents de Madeleine lui envoient par la poste des photos de Madeleine et de Lilura.

Elles habitent alors Verrières-le-Buisson, dans l’Essonne (dans la région Parisienne). Madeleine n’a pas pu avoir son diplôme d’ingénieur, mais elle est déclarée inapte au travail et reçoit une pension d’invalidité. La pension d’invalidité, ajoutée à la pension alimentaire de Dunixi, leur permet de très bien vivre. Etant psychologiquement suivit par un centre psychiatrique de Paris, elle a pu garder la garde de sa fille : on a constaté que l’éloignement de Dunixi lui a fait beaucoup de bien. Elle a eu les premières années quelques crises d’angoisse, car elle avait peur qu’il revienne, puis elle est restée angoissée, et enfin simplement stressée dans la vie de tout les jours. Plus Lilura grandit, et plus elle sa mère va mieux.

Lilura grandit donc avec sa mère qui est toujours à la maison. Elles sont très proches, et s’entendent à merveille dans les créations artistiques. Lilura est une enfant agréable, qui ne souffre pas de l’absence de son père. N’ayant aucun souvenir de lui, elle n’a jamais tenté de le retrouver. Elle sait que sa mère a du le quitter pour des problèmes de santé mentale et espère tout simplement qu’il est heureux en Espagne. Parfois elle demande des photos de lui à ses grands-parents, ou cherche des informations sur la culture basque qui lui a laissé son prénom et son nom de famille. Elle passe souvent l’été chez ses grands-parents, mais a dû arrêter par la suite. Bien qu’ils soient encore jeunes, ils ont été frappés par de l’Alzheimer assez violent et ont du être mis dans à un âge précoce dans une maison de retraite.

Quand elle était petite, Lilura était tellement proche de sa mère qui était toujours à la maison a fabriqué et peindre des choses merveilleuses qu’elle ne ressentait pas le besoin de se trouver des amis. Douée d’une grande imagination, elle se fabriquait des poupées, des cabanes, des peluches, un monde imaginaire. Elle s’était fabriquée avec des morceaux de tissus et d’autres matériaux trouvés un peu partout une souris, qu’elle avait appelé Grenadine. Elle l’emmenait partout, lui faisait la conversation, s’occupait d’elle, et n’avait par conséquent par besoin d’amis de son âge. Pour les autres, ce n’était qu’un jouet, mais pour elle c’était Grenadine, une personne à part entière. Un observateur attentif aurait peut-être reconnu là des premiers signes de la schizophrénie : trouble de la pensée, délire, hallucinations. Mais pour Madeleine, c’était tout simplement le monde imaginaire d’un enfant.

Lilura serait peut-être restée solitaire longtemps encore si elle ne s’était amusée à construire une cabane dans la forêt de la Verrière. Remarquée par d’autres enfants, ils furent vites séduits par le projet, et les amitiés se firent naturellement.

Rapidement, elle est devenue une adolescente parfois un peu timide, mais très sociable et très joueuse. Aimant touché à un peu toutes sortes d’activités, elle a connu beaucoup de monde, mais elle a toujours gardé une place pour les enfants de la cabanes qui sont devenus un groupe d’ados qui prennent toujours le temps de se voir même s’ils ne sont pas tous dans les mêmes établissements. De temps en temps, toutefois, elle redevient la petite fille solitaire qu’elle était, et devient rêveuse ou méfiante. Mais ces symptômes sont trop légers pour l’handicaper dans la vie, elle ne se rend même pas compte qu’elle développe une schizophrénie.

Parallèlement au développement de sa schizophrénie, elle développe beaucoup de problèmes en cours. Elle est tellement tête en l’air qu’elle paume ses cours, ses stylos, les devoirs (même sur table), les livres,... Et elle ne les retrouve jamais. Cela fait rire les gens de sa classe, mais angoisse un peu Lilura qui ne comprend pas où arrivent ces objets qu’elle ne retrouve jamais. Elle se demande si sa classe ne lui joue pas des tours, si un complot n’a pas été fait pour se moquer d’elle. Elle perd confiance en sa classe et en son lycée (heureusement jamais en son groupe d’amis d’enfance). Les professeurs en concluent gentiment à quelques problèmes familiaux, liés à la maladie de sa mère ou à l’absence de son père.

Elle se lie alors plus que jamais d’amitié avec ses amis d’enfance. Ils ont souvent des problèmes (un a fait une tentative de suicide et s’est retrouvé à l’hôpital deux semaines), mais ils se serrent les coudes. L’un deux s’appelle Nicolas. En 2006 ils ont 16 ans et ils tombent amoureux.

Nicolas et Lilura sortent ensembles un an, ils voient même l’avenir ensemble. Ils ont surmontés des moments difficiles car Nicolas a eu une période d’anorexie, suivie d’une période d’automutilation. Mais malgré les problèmes psychologiques de Nicolas (et Lilura en a vu d’autres) ensembles ils surmontent plus ou moins bien leurs problèmes, et vivent heureux. Lilura, un peu romantique, très amoureuse aussi, s’imagine déjà toute la vie à ses côtés.

Les amours ne vont pas bien seulement pour Lilura : étonnement, depuis que Lilura est devenue une adolescente sociable qui sort beaucoup, Madeleine a merveilleusement bien surmonté ses problèmes, et a même trouvé l’amour en un homme des ressources humaines d’une entreprise du nom de Fabrice Gracieux, qu’elle a rencontré lors d’une exposition de ses meubles en bois peints. Ils sortent ensembles depuis bientôt 5 ans, et Madeleine est encore très jeune : elle a tout juste 37 ans. Ils projettent leur mariage pour début d’avril 2007.

Ce mariage réjouit beaucoup Lilura, elle trouve cela tout simplement merveilleux. Elle aide sa mère à trouver une robe, à dresser les tables, à choisir le décor, etc. Elle lui fait perdre beaucoup de temps aussi en perdant la liste des invités et la carte de visite du traiteur, mais l’enthousiasme de Lilura met beaucoup de baume au cœur de Madeleine.

Une heure avant le mariage, Fabrice qui s’entend très bien avec Lilura vient la voir. Il ne connaît pas son talent naturel à tout perdre, et lui confie la bague de mariage, car il sait la fille et la mère très liées. Lilura accepte, lui fait un baiser sur la joue pour lui porter bonne chance. L’heure suivante, tout dégénère : le marié a fait dans la mairie une crise d’agoraphobie et a fait un malaise. Le mariage est reporté au lendemain. Lilura remarque alors qu’elle est de retour chez elle la disparition de la bague. Morte d’angoisse, elle retourne à la mairie pour la chercher. Sur place, elle croit plusieurs fois l’apercevoir parterre, mais ne la retrouve pas. Elle croit voir des bagues partout, des dizaines, des centaines de bagues sur le sol, tout autours d’elle, elle panique, elle éclate en sanglot.

Elle reprend néanmoins vite son calme, décidée à la retrouver. Mais quand elle essuie ses larmes, elle ne se trouve plus dans la mairie, mais dans le vestibule de Nenkin Ame.

Quel histoire !!
En tout cas quelqu'un qui aime le poker et qui est née le 12 ne peut être que quelqu'un de bien ^^ (en plus si cette personne dessine bien )
Bienvenue !

Wouha!
J'ai adoré! très malkavian sur les bords, mais sans même sans rendre compte: super!

Et je te félicite aussi d'avoir posté plus tôt que prévu, finalement...Et j'en profite pour ne PAS félicité T. qui aurait du poster son perso depuis deux bonnes semainnes....Mais c'est une autre histoire...

Bon, je vais pas te sortir les banalités d'usage à la "bienvenue", "sympa, le concept", "original comme perso", et "amuse toi bien" étant donné que....Voila quoi!


Bonne journé

Biensur qu'elle est bien ma Lilura... Vous allez voir, elle peut être très attachante. ^^ Enfin j'espère qu'avec ton hermite tu gardes pas une vieille rancune contre les schizos !

Remerciement à la démone pour m'avoir filé l'idée des folies ^_^.

Bah moi je je vais me contenter des banalités...

Original comme perso, bienvenue! lol

Tient en fait... Si elle est pas au courant de ses pouvoirs, elle pourra pas les rescencer. Elle est pas déviante magique, hein ?

Bah...Après tout il est bien spécifié que seul les possésseur de pouvoirs magiques ont du soucis à se faire...Mais je ne crois pas que des personnes sans pouvoir soient "appelé par l'eau", nan? Dans ce cas, tu devra venir, déclarant que tes pouvoirs te sont inconnues...

En gros...


Et oui! "Big Brother is watching you!"

Ca me dit quelque chose, ça... En une certaine année 1984.

Voilà une vraie passion d'écriture. Bienvenue!

Merci et bravo d'avoir eu le courage de tout lire
Le "Big Brother is watching you!" c'est pas un film ? *inculte*

inculte ? là, je ne veux pas être méchant, mais c'est presque le stade au dessus ! Big Brother is Wathing You ! 1984 ! George Orwell ! Paru en 1949 ! Requisitoire contre l'URSS et le totalitarisme !

Désolé MacLellan, mais la date de parution c'est 1948...

Un magnifique exemple de contre utopie...

Madame MacLellan a écrit:

Requisitoire contre l'URSS et le totalitarisme !

Pas contre l'URSS seulement, contre toute forme de régime totalitaire. En fait, George Orwell a inventé le régime totalitaire parfait qu'il décrit dans ce livre. Il s'inspire et envois moult références aux régimes totalitaires de l'histoire (l'antisémitisme nazi, le dictateur qui a la tête de Staline...) mais invente une nouvelle forme de dictature où les gens ne sont plus condamnés pour leurs actes mais pour leurs pensées. J'adore ce livre

Bon d'accord je crois que je vais faire un tour à ma bibliothèque

C'est amusant, le profil du couple de ses parents est exactement aux antipodes des parents de Louis !
Sinon, j'aime beaucoup le concept de personnage de Lilura, ces pouvoirs sont également bien pensés.
Vivement le rp^^

Père de Lilura : a essayé de garder sa famille intacte, puis a reculé devant la folie de la mère. Ingénieur devenu agriculteur, on ne peut pas vraiment le dire "aventurier". Il a laissé une adresse. Elle ne cherche pas particulièrement de lien avec lui.

Père de Louis : a abandonné sa famille pour l’aventure, ce qui a causé la folie de la mère. Il a disparu. Père admiré par son fils.

Mère de Lilura : Artiste. Folie (à cause de sa fille) décroissante. Inspire une vie calme et posée. Lien de confiance, de sécurité maternelle. Donne à sa fille une enfance heureuse.

Mère de Louis : Dite Artiste. Folie (qui retombe sur son fils) croissante. Passionnée. Lien amour/peur. Donne à son fils une enfance plutôt angoissante.


...


En effet, nos parent sont plutôt bien opposés Ce qui ressort d'autant plus qu'ils ont des points similaires (Père absent, mère folle et artiste).

RP qui viendra après ma semaine en Allemagne ^^.

Attention ! Pour la mère de Louis, ce sont les autres hommes qui lui ont enlevés son mari, en tout cas c'est à eux qu'elle transmet la responsabilité de son départ, ou de sa disparition.
Après, peut on croire la version d'un fou, d'une folle?
Bien sur, la question se pose.

Je ne parlais pas du statut professionnel des parents, mais plutot de la relation l'un envers l'autre patate^^

histoire longue mais intéressante ! merci pour le résumé du premier article (dommage que je l'ai pas vu plus tôt XD)
tu as une façon d'écrire qui me plaît beaucoup en plus
ton perso est très original ! Bravo !

Ca promet d'être intéressant. Je valide ta fiche mais rest le problème du foyer. Je propose Psychokenese. Inconsciemment, tu communiques tes états d'esprits à ton entourage, qu'ils soient dans ton subconscient ou que tu en aies conscience. Qu'en penses-tu?

Bravo d'avoir eu le courage de tout lire

Comme elle détraque le mental des autres sans utiliser des moyens physiques (elle ne touche ni aux hormones ni aux neurones, puisque c'est passager), je la mettrais aussi à Psychokenese.

Biensur, comme la magie marche par le toucher, et qu'elle est totalement innée (puisque déjà présente quand elle était foetus), je me suis un peu posée la question...

Bon puisque le fait qu'elle ait deux pouvoirs plutôt différents est accepté, dont un un peu bourrin, je vais lui faire faire son entrée.