Nom / Prénom: Katarina Dostoïevskaïa
Pays d'origine: Russie
Âge / date de naissance: 14 février 1981 (26 ans).
Année d'étude ou Métier: Infirmière
Apparence physique:
Katarina est une jeune femme très jolie ! Assez grande, très sensuelle, exceptionnellement fine, excepté sa poitrine et ses fesses d’une taille… raisonnable. Elle a de longs cheveux très blonds qui s’accordent parfaitement avec son regard d’un bleu éblouissant qui surmonte un charmant petit nez en trompette et une bouche aux lèvres pulpeuses comme on les aime.
Elle porte toujours sur le crâne son petit chapeau d’infirmière qui lui va si bien, et aime porter sa blouse blanche (sans rien en dessous bien entendu) relativement courte, au grand plaisir des messieurs. Ses petits pieds si délicats, autour desquels sont enfilés des collants noirs jusqu’à mi-cuisses, sont ornés de chaussures à talons rouges.
Sa démarche est la démarche dont rêvent les hommes : chacun de ses pas entraine un magnifique déhanché d’un coté puis de l’autre. Katarina reste toujours bien droite et dégage une aura de séduction impressionnante.
Maison / Pouvoirs:
Elle a le pouvoir de guérir n’importe quelle maladies ou blessures d’un simple petit bisou.
Passions / Talents / Handicaps:
Katarina aime les bonnes choses de la vie comme la cigarette, l’alcool, et tout particulièrement les sports de chambre, qu’elle pratique sans aucune modération, ne craignant aucune des maladies due à ces pratiques.
Elle a divers talents, le premier étant qu’elle est une très bonne…… je pense qu’on va ignorer ce talent pour le moment (ce n’est pas très catholique !). Le premier de ses talents que l’on peut exposer sans craindre de choquer les âmes sensibles, est qu’elle est très bonne oratrice, et de là résulte un charme quasiment irrésistible. Aussi, elle se lie très facilement avec les hommes de son entourage. Cependant, ses relations avec les femmes sont bien plus froides.
Son histoire:
Katarina est né en Russie, de parents inconnus. Abandonnée à quelques mois sur une place de Saint Petersburg, elle fut recueillie par un curé qui la nourrit, la blanchit, et la logea dans son presbytère. La petite fut baptisée par ce curé comme sa fille, et elle hérita donc de son nom. Il la nomma Katarina Dostoïevskaïa. A 6 ans, la petite fille était déjà très belle, et le pauvre homme de foi succomba à la tentation. Il la viola. Katarina, ne connaissant pas le monde extérieur pensait que cela était normal dans l’éducation d’une fille et se laissa faire lorsque l’homme transforma les relations sexuelles avec sa fille adoptive en habitude. Cela dura 2 années et cessa par la mort du curé. Fille de la rue, elle retourna à la rue, et erra pendant quelques mois avant de se faire engager par un proxénète qui finit par la vendre (à un très bon prix) à des riches français au désespoir car stériles. Ils l’élevèrent comme leur propre fille. Ils la gâtaient et la laissait faire ce qu’elle voulait. Elle commença à aller à l’école, mais ne suivait absolument pas, bien qu’elle apprit très vite la langue française. Dès le collège elle trainait avec des gens bien plus vieux qu’elle la nuit, à picoler et à fumer des joints toute la nuit. Peu de temps après, ses soirées se déroulaient de la même manière, à ça près : qu’elles se finissaient dans un lit ou un buisson quand il n’y avait pas mieux, avec chaque fois un jeune homme différent. Elle avait 11 ans. Un jour, rentrant chez ses second parents adoptifs, elle apprit que sa mère été atteinte d’un cancer et ne passerait pas noël. Katarina fondit en larme. Sentimentalement, la pauvre femme chez qui elle vivait depuis 3 années était devenu sa mère, tout comme l’homme était devenu son père. L’enfant ne sortait plus. Elle restait avec sa mère toute la journée, et restait avec elle le soir, dans sa chambre jusqu’à ce qu’elle s’endorme, et lui l’embrassait avant d’aller se coucher à son tour. Noël arriva très vite, et la femme se portait à merveille. Son médecin, quelques jours plus tard lui appris qu’elle était guérie. La famille entière considérait l’amour comme l’élément qui avait sauvé la mère. Katarina repris son rythme de vie habituel : beuveries et orgies tous les soirs. Ce fut un an plus tard qu’elle prit conscience de son pouvoir. Lors d’une soirée dans un parc, ses amis et elle faisait tourner joints sur joints quand 3 policiers débarquèrent. Tous les drogués s’enfuirent dans diverses directions. Katarina prit la même direction qu’un de ses amis et son petit son petit copain du moment, un policier à leur trousse. Ils coururent dans de petites ruelles et décidèrent de se séparer. Katarina et son copain prirent une direction, et l’autre ami en prit une autre. Mais le jeune homme accompagnant Katarina dérapa et tomba violemment. Heureusement pour lui, le policier suivit l’autre homme et le couple passa inaperçu dans la ruelle transversale. Katarina s’approcha de son copain pour le relever et découvrit une fracture ouverte à la jambe droite. En pleur, elle prit le blessé dans ses bras et l’embrassa. Aussitôt, la blessure se referma et la peau se reforma comme si jamais sa jambe n’avait subit quelconque dégât. De même, à l’intérieur, l’os se ressouda. Le couple put ensuite s’enfuir sans problème.
Elle continua sa vie de débauche en profitant encore plus de tous les bonheurs. Dans les années qui suivirent, elle attrapa le SIDA une demi-douzaine de fois, trois fois le cancer, et un nombre indéfinissable d’autres maladies banales qu’il lui suffisait de se faire un bisou pour guérir. A ses 20 ans, elle décida d’entrer dans la vie active. Elle voulut devenir infirmière, mais n’ayant aucun diplôme cela lui resta impossible. Elle devint donc actrice de films d’abord érotiques, puis pornographiques. Mais un jour, alors qu’elle avait 26 ans, elle dut tourner une scène très chaude dans un Jacuzzi. Alors qu’elle entrait dans l’eau en pensant à ce qu’elle allait prendre, elle se sentit appelé par l’eau, et sans comprendre, se retrouva dans le vestibule de Nenkin Ame.