Découverte de l'infirmerie

Mélie tint la porte juste le temps de faire passer les deux arrivants, elle regarda bien le jeune homme, il avait l'air avide de poser la jeune fille, pour avoir les mains libres sans doute?

Séphira lui bouchant la vue, mélie désigna au jeune homme un lit vide, aussi vide que l'infirmerie paraissait il!

Uchdrydd s'avança après que la demoiselle lui ouvrit la porte, et regardat dans la direction qu'elle pointait. Le lit lui apparut comme salvateur. Il déposa Séphiria avec le plus de délicatesse possible sur le lit et, les mains tremblantes, il sortit avec empressement son carnet et son stylo. Il s'adossa au mur empechant ainsi l'autre fille de voir ce qu'il écrivait.

Sensibilité
Maladresse

Réactions Etranges

Nouvelles rencontres

Sur ces derniers mots il ferma les yeux tout en refermant son calepin. Au fur et à mesure qu'il écrivait, de légers tics parcoururent son visage. Son état d'excitatio avait disparu au moment où il avait remis son carnet dans sa poche, mais la sensation était encore la.

Il rouvrit les yeux une fois que son calepin fut dans sa poche. Il regarda quelques instants le visage de la demoiselle qui l'observait, puis quitta le mur pour rechercher quelque chose à boire. En regardant dans les quelques armoires, il ne vit que de l'alcool à 90°, ce qui ne lui convenait guère. Il se posta alors sur un bureau, regardant la porte, le visage toujours fermé.

Escusez moi, vous vous sentez bien?

Elle l'avait vu sortir son carnetet ecrire, mais sans parvenir a lire ce qu'il avait écrit.

Puis, elle lanca sur le ton de la plaisanterie:

Si vous vous sentez mal, c'est le moment ou jamais de le dire, vous etes au bon endroit!

Cela ne fit pas rire le jeune homme, qui resta impassible.

qu'il est étrange, mais qu'est ce qu'il est attirant...

Elle tendit la main, pour lui toucher la tete, ou bien la main, puis se ravisa, que penserai t il d'elle apres ce geste, le garcon semblait l'avoir vu, il se retourna vivment et lui dit:...

Il obscurcit son visage suite à la remarque de la jeune fille. Son carnet représentait tant de choses pour lui que la plaisanterie à ce sujet n'avait pour lui pas lieu d'être. Il detourna son regard, étudiant les différents recoin de la salle.

Un léger bruit lui fit tourner la tête, et il vit la main de la demoiselle qui s'aprochait de lui. Il bougea vivement son corps, le mettant hors de portée de son corps, et observa sa main. Vide... Il observa son visage, puis plongea son regard de glace dans ses yeux, cherchant à déterminer les raisons de son action. Remarquant la gêne que cela provoquait en elle, il detourna la tête, observant son propre visage par l'intermédiaire d'une glace. Il se rendait compte à quel point sa méfiance envers les gens était grande, et cela le désolait.

-Pardon...

Sur le dernier son, ses muscles se contractèrent et son poing alla se fracasser sur le miroir. Une légère brume s'était formé autour de son poing et une très fine couche de glace apparut sur les morceaux du miroir.
Au moment où le premier fragment atteignit le sol, le décor de la pièce changea brutalement. Une ambiance de mort, sombre et sanglante. Une lueur de surprise fit son appartition au fond de ses yeux, qui laissa rapidement la place à son sang-froid naturel. Ses muscles étaient tendus, et un léger brouillard vint se former autour de ses pieds. Il se mit entre les deux demoiselle, les poings sérrés, parés à toute éventualité. Du sang coulait de sa main mutilé par les éclats du miroir. Voyant l'expression de la demoiselle, il se raprocha légèrement d'elle, cherchant à la rassurer...
Puis l'infirmerie revint à la normale, aussi vite qu'elle avait changé. Il crispa son visage, le rendant plus sombre encore. Un mouvement de Séphiria lui fit tourner la tête, et suite à ses premiers mots il se raprocha de son lit, posa sa main froide sur son front. Il ne remarqua pas de fièvre. Puis il prit son bras et regarda sa tension. Voyant qu'elle avait l'air hors de danger, il recula, jetant un regard à l'autre fille. Puis il regarda à nouveau Séphiria .

-A l'infirmerie

L'ambiance de la piece changea d'un coup, et mélie eu l'impression qu'ele allait vomir, des squelettes et des corps en décomposition jonchaient le sol, puis, plus rien.

Le jeune homme venait de balancer son poing dans la glace,

pourquoi?


Puis, quand l'ambiance avait changée, il s'etait rapproché d'elle, et la chaleur de sa peau avait fait sourrire mélie.A ce moment, il se retira vivement.

Ne vous excusez plus de grace, mais je voudrais vous parler sérieuseent, vous ne faites jamais aucuna allusion a votre vie, vous ne faites que vous excuser...

Le jeune homme changea d'expression, et sn regard penetra celui de Mélie, et c'est a ce moment la qu'elle s'en rendit compte, avec ses yeux,une lueur de tendresse c'etait nichée dans son regardn, si dur autrefois, simplement, ne sachant pas l'utiliser a bon escient, il la refoulait
Mais autrefois, n'étais ce pas il y a qurelques minutes seulement?.

Elle s'approcha de lui et lui tendit la main, esperant qu'il ne la serrerai pas seulemen qu'il la tiendrait le plus longtmeps possible.

Pus-je vous considérer comme mon ami?

Puis, son visage vira au vermillon.

Ce genre de gestes ne lui étaient guère familier, et une certaine apréhension naquit en lui, ayant pour conséquence de fermer un peu plus son visage. Son regard passa de la main tendu au visage souriant de la jeune fille. Il avança lentement la sienne. Le contact de leurs paumes fit naitre un sentiment très agréable en lui, décontractant légèrement son visage. Il acquiesa d'un signe de tête et enleva sa main au bout de quelques instants, du fait de la présence de Séphiria. Il plongea à nouveau son regard dans celui de son interlocutrice.

-Je suis Uchdrydd ...

Il détourna le regard et porta son attention vers Séphiria, qui avait l'air déboussolé.

Le contact de la paume du jeune homme lui procura une sentation de plaisir qui était totalement indesciptible.
Aussi, lorsqu'il la lacha, elle fut un peu décu, mais murmura doucement:

-merci...

Puis, il regarda dans la direction de la femme évanouie,elle suivit son regard, puis accourru aupres de la malade.
Ele avait le teint pale, mais lle etait reveillée.

Comment te sent tu, ca te prend souvent?peut etre qu'on pourrat trouver un remede non?

Voyant la jeuen fille completement apeurée face a l'infirmerie, elle lui dit:

Tu sais, on ne te donnera aucun de ces médicaments, et il n'y a pas d'infirmieres, alors n'ai pas peur, c'etais juste pour que tu sois allongée.

Séphira esseya de se lever mais mélie l'en empecha en la rasseyant sur le lit avec sa main droite,

Non, reste encore un peu, tu es tres faible, peut etre puis je te soigner momentanément?? attend, rien ne coute d'essayer!

Que le mal qui court en toi
Plus jamais n'impose de loi
qu'il quitte ton corps, pour toujours
De nuit comme de jour.

La jeune fille attendit, amsi tout de suite, les cernes de séphira s'effacèrent,

Peut etre que ca ne durera pas longtemps...Mais c'est toujours mieux que rien!

Finalement, elle etait assez contente d'elle.

Délaissant momentanément Séphira Mélie se dirigea vers le jeune homme (escuse moi, ton nom est inmémorable pour moi...)et vis que sa main saignait.Le jeune home sembla trouver nécessaire de passer simplement sous l'eau son poing blessé, mas Mélie vit que des bouts de verres étaient incrustés.Elle prit d'une force douce la main du jeune homme, puis posa son autres main par dessus avant de murmurer en chantant:

Verre
Vers
Vert

Partiras tu de sa main?
Ou ne verras tu plus rien
Disparait
A jamais.

Le poeme était médiocre, elle le savait, mais les bouts de verre se volatilisèrent.

Il regarda ce que faisait la demoiselle. Observant chacun de ses mouvements, et écoutant ses paroles.

Après son incantation, il vit que sa plaie était néttoyé. Mais son regard se fit plus dur et plus froid qu'auparavant. Il détestait qu'on l'aide de cette façon : sa vie en solitaire l'avait forcé à tout faire lui même, et la gestion de son corps était un travail qu'il estimait on ne peut plus personnel.

Il lança un dernier regard à Séphiria qui semblait aller mieu, enleva sa main de l'étreinte de la demoiselle et la fixa durement, lui faisant comprendre qu'il n'était pas fait pour rester avec des gens. Il passa à coté d'elle, les yeux rivé sur la porte. Le bruit de sa robe couvrait celui de ses pas ... Il posa sa main sur la poignée et appuya lentement. Sans un mot il sortit de la pièce, la main cherchant son carnet. Dès que la porte c'était refermé, il se mit à écrire tout en marchant dans le couloir.

Le monde ne me va pas

Les gens ...

Mélie vit le personnage sortir de la piece, mal a l'aise, mais le laissa faire, elle étais heureuse du temps qu'il lui avait accordé, mais elle aurait aimé que ca dure eternelement.

Le jeune homme resortit le calepin...

Pourquoi??

Elle avait vu que le jeune homme n'avait pas aimé qu'elle lui impose son aide, et il avait l'air un peu angoissé en sortant, Mélie su qu'elle allait faire une bétise en le rattrapant, alors, elle resta la, les bras balant, a regarder un inconnu dont elle s'etait epris presque par mégarde s'enfuir dans un couloir banal.

Mélie fut prise au dépourvu par cette question, et se contenta de répondre en rougissant:

Oh tu sais, je ne demande rien, je constate seulement que je viens de réussir quelque chose que je n'avait jamais fait, et ca me rend heureuse, je n'en demande pas plus!

En fait, j'ai juste une chose a te demander, mais meme ca, je ne sais pas si tu accepterai...Tu fais de illusions, si tu m'en créais une, je pourrais peut etre la rendre réelle, en fait, je reve d'avoir un serpent, tout petit, grand comme l'avant bras, qui ne mord pas, vert pomme.
J'aimerai que tu crée l'illusion, je me charge de le faire devenir vivant, si j'y parvient, je l'appellerai Séphilie, en l'honneur de nos deux nom, c'est la seule chose que je puisse te demander.

Elle alla s'assoir pres de Séphiria e attendit sa réponse avec beaucoup d'impatience. Elle leva les yeux vers la jeune fille, et celle ci lui répondit:

...[a toi de continuer séphi]

Mélie vit avec une joie non dissimulée le petit serpent flotter dans les airs, il était exactement comme elle avait voulut, elle n'avait juste pas imaginé la marque, mais la trouva tres belle, comme un duo d'artustes qui signent un tableau inachevé.

Elle chanta d'une voix onctueuse, y mettant toute sa joie de vivre...
Soudain, le seprent tomba au sol, et ne bougea plus.

Mélie se pencha et le ramassa, esperant qu'il était toujours vivant...
Au contact de ses doigts, le serpent ne resta pas immobile, s'enroula lentement autour du bras de Mélie, puis se glissa dans un de ses long gants blancs.

Ho! Merci mille fois, Ca a marché, je t'en suis infiniment reconnaissante, Je suis tellement heureuse!

Tout de suite, elle regretta le nom Séphillie et proposa:

Est ce que ca te derange si je l'appelle Saxo finalement?

Mélie réfléchit, c'était la moindre des choses, mais deux fois de suite lui prendrais beaucoup d'énèrgie...

Je veux bien, mais il ne faudra plus que je jette de sorts avant d'avoir dormis apres!

Elle s'assit sur le petit lit blanc, et attendit que Séphiria imagine sa souris.

Ah, aussi, aura-t-elle une marque semblable sur le front?
Aussi cela protegera nos deux camarades je crois, du moins la tienne ne se fera pas manger par le mien, je t'en donne ma parole!

Mélie récita por la seconde fois a haute voix la formule, en chantant mélodieusement, puis se souvint de l'image de la souris, et se concentra dessus de toutes ses forces.

Elle se concentrai telleent que des rides inondaient son front, comme si elle piquait une crise.

Enfin, elle vit la petite souris la regarder, avec de minuscules yeux percants: elle était vivante.

Le petit serpent sprtit de la manche pour aller glisser rapidement du coté de la petite bestiole.Il s'entoura autour d'elle, mais sans l'étouffer, non, i lui faisait un calin!

Réjoui par cette image, sa joie fut de courte durée. Le sort l'avait privée de toutes ses forces, et elle s'écroula sur le lit, ne gardant pour dernere image que les deux petites betes en train de s'enlacer tendrement.

Mélie tenta veinement de résister a la douceur qui l'envelopait:

Non, non, je ne veux pas, laissez moi tranquille je ne veux pas dormir, je ne veux pas...

Mais cette fragile résistance mentale fut de courte durée, les images envoyée par séphiria lui était trop forte et agréables..;Ellle plongea dans un beau sommeil, vit toute les choses qu'elle avit désiré jusque la passer devant ses yeux...Puis plus rien, elle dormait trop profondément.

Puis elle se réveille, elle ne savait pas du tout combien de temps elle avait dormi, mais elle ne savait pas si Séphiria serait toujours la comme une vraie amie, ou bien si elle l'avait lachement abandonnée. Ses prorpre yeux papilloterent, puis elle discerna la silhouette fine et elancée de la jeune fille.