Trent Wingos

Nom: Trent Wingos

Naissance: Trent est né le 9 octobre 1990, à Yuma, Arizona, USA. Il a donc 17 ans.

Année d'étude: 1ère année d'étude

Apparence physique: cf avatar. Sinon Trent fait environ 1m75, il a les cheveux d'un mauve délavé due à une ancienne teinture violette, les oreilles percées, et de sombres cerne sous les yeux à cause de ses habitude nocturne et de la consommation de drogue. Il porte un vieux cuir d'aviateur, où sont cousus un nombre incroyable d'écusson: un pour chaque pays visité, et d'autre ayant rapport avec ses préférences musicales. Un carré de tissus vert sale et un paire de lunette d'aviateur lui servent de couvre-chef. Il porte généralement des jeans, souvent déchirés, rapiécés, mal recousus, sous lesquels dépasses sa vielle paire de rangers.

Foyer / Pouvoirs: Mystikel. Trent peut récupérer certaines caractéristiques physiques des insectes et arachnoïdes, mais il ne maîtrise absolument pas ses capacités, ce qui peut parfois être handicapant.


Passions / Talents / Handicaps: L'aviation est sa passion, la vitesse son kiff, la provocation son mode de vie, les paradis artificiels son échappatoire.



Son histoire:
Trent est née dans un petit bled d'Arizona, sa mère Stacy Wingos, était une vielle hippie attardée qui se faisait appeler "Gift", et son père un aviateur chevronné d'origine amérindienne, qui avait déjà fait le tour du monde et répondait au nom de "Furious Wind". Ces deux là était épris de liberté, et leur vie était nomade pour toujours rester sous un ciel sans nuage. Mais lorsque Gift tomba enceinte, ces deux rêveurs durent trouver un port d'attache: ils choisirent Yuma, une petite ville tranquille d'Arizona. Avec la venu de leur enfant Trent, ils durent se résigner à travailler pour subvenir à leur besoin. Furious Wind ouvrit un aérodrome, et Gift tenait un petit café auquel il était rattaché. Avec son père, Trent fit le tour du monde en biplan, ramenant à chaque fois un écusson symbole du pays visité. Le jeune garçon était élevé dans un environnement d'amour et de respect, par une hippie et un indien, qui n'était pas mariés, considérant cela comme une convention culturelle dénuée d'intérêt. Trent était rayonnant, et c'est ce qui permis au couple de se maintenir, car il les avait privé de leur vagabondage, et sa seule présence les avait détruit, bien qu'il n'en sut jamais rien. A chaque retour de ses voyage, sa mère semblait plus âgée, plus terne. Elle avait déjà plusieurs fois trompé Furious Wind, et culpabilisait, mais ce dernier lui portait moins d'importance, et se renfermait de plus en plus, et cela avait commencé il y a tellement longtemps, depuis la naissance de Trent en fait.

Le jour des neuf ans de Trent son père partis en avion, lui chercher son cadeau. Il ne revint jamais, il avait fuit cet ancrage permanent: le fardeau de la paternité. Gift eu énormément de difficultés à supporter cela, et du joint qu'elle fumait habituellement, pour se donner du courage, elle passa aux champignons, puis délaissa son naturel hippie pour du chimique, du LSD qu'elle prenait en écoutant les Beattles, de la kétamine, puis de la cocaïne. Mais tout ces "calmants" lui revenait plus cher que de cultiver quelque pieds dans les champs, et pour continuer à nourrir sa progéniture et ce qui restait d'elle-même, Gift vendit l'aérodrome, et finit par se prostituer. Alors pour surmonter ses passes, et prit de l'héroïne, et mourut bientôt d'une overdose, Trent avait douze ans.

En neuf ans, la vie de Trent était passé d'un bonheur baignant dans une harmonie et une osmose saine et naturelle, à la lente pourriture de son environnement, regardant inexorablement son univers moisir et s'effondrer autour de lui, se renfermant pour moins souffrir, jusqu'à l'abandon de son père. La solitude. Et l'oppressante impression d'être la source des malheurs alentours. Alors, l'enfant prit exemple sur la mère, et commença à boire, puis à lui voler des joins. Lorsque sa mère mourût, cela ne l'atteignît même pas: il savait qu'elle se vendait, et l'avait déjà vue en plein travail, parfois avec plusieurs personnes, parfois avec ceux qui étaient les meilleurs amis de Furious Wind. Cela n'avait plus d'importance, ce n'était plus qu'une étrangère, une pute qui se faisait sauter par autant de connard en manque de baise. Peut-être qu'un jour, lui aussi lui cracherait une liasse pour passer quelques heures dans son lit, se rendrait-elle seulement compte que ce serait à son fils qu'elle se vendrait, tel une poupée de chair? Mais Trent s'en foutait, de toute manière, sa mère était morte il y a longtemps, depuis que Furious Wind était partis? Depuis que Trent était né? Ça n'avait plus d'importance, plus rien n'avait d'importance, une bouffé sur son joint, et déjà tout ses problèmes étaient loin. Il ne se souvenait plus de son père, sa mère, ni même de lui. Le réconfort dans l'oubli.

Et après la mort de sa mère, Trent fut accueillit par son oncle, le frère de Gift, qui vivait à Atlanta: Johnny Wingos. Johnny Wingos, et sa chère petite femme Alyson, et leur chère petite fille Katy. Une fois de plus, Trent apparue comme celui qui était de trop, mais qu'on était obligé de garder, et qui gâche notre bonheur, sauf que cette fois ci, il s'en rendu compte. Johnny, et sa petite famille était une belle bande de petit bourgeois sans saveur. Johnny avait quitté la communauté hippie dans laquelle il vivait pour poursuivre des études de commerce, il devient alors la honte de la famille, qui coupèrent tout liens avec lui lorsqu'ils apprirent qu'il avait fondé sa propre société, qui finit par faire faillite, deux ans plus tard. Alors il devint consultant pour une pauvre petite entreprise sans intérêt, épousa une pauvre petite femme sans intérêt avec qui il eut une pauvre petite fille sans intérêt, avec lesquelles il vivait dans une un pauvre petite appartement sans intérêt, et savourait sa pauvre petite vie fade et...sans intérêt. Il avait déjà envisagé le suicide, mais il était trop lâche pour se porter le coup fatal, alors il rêvait qu'on connard de terroriste le prennent en otage et qu'il passe au moins une fois à la télévision en se pissant dessus et suppliant celui-qui-le-braquait-avec-un-22-long-rifle de le laisser vivre, se rendant alors compte que même si il devait vivre en rampant, il préférait ne pas avoir d'honneur et mendier la moindre pièce dans un couloir de métro plutôt que de se prendre une balle dans la tête. Mais pour l'instant ça allait: Johnny était toujours en vie, rentrait de son travail de merde, se servait un verre d'un whisky à 3$95 la bouteille, et attendais que sa femme lui fasse un repas de merde, d'ailleurs cette conne n'a jamais su cuisiner. Un jour normal, donc, lorsqu'il apprit qu'il était devenu le tuteur de ce jeune couillon de drogué de Trent.

Pour Trent la vie à Atlanta fut un nouveau départ: il emmerdait son oncle, son crachait à la face maquillée de sa tante, et baisait avec sa cousine, bien qu'elle ne fut pas consentante dans un premier temps, cette sale garce avait tellement prit goût à son membre qu'elle venait alors en redemander. Alors Trent l'envoya chier, la traitant de chienne, et elle qui confirmait pour pourvoir ne serait ce que le sucer. Il a même le souvenir de lui avoir pissé dessus une fois, elle n'avait rien dit. Dans un premier temps Trent resta chez Johnny, il dormait le jour, et sortait la nuit, fréquentant les milieux underground, et s'attachant à ce qui restait des débris d'un mouvement punk agonisant. "j'irais cracher sur vos tombes, si y'a des cons pour vous enterrer et que j'suis pas crevé avant" voila sa devise. Rejetant toute forme d'autorité, et encore plus si elle venait d'un prétendu tuteur légal, Trent finit par foutre le camp de chez ce qui lui restait de pseudo-famille, après avoir profit une dernière fois sa cousine, et shooté dans les burnes "d'oncle Johnny". Trent se trouva alors un squat pas trop craignos, avec quelques potes de soirées, arrivé là il atteint le paroxysme du spleen. Sa vie était simple: baiser avec des inconnu(e)s, se taper rail sur rail, puis quand la coke ne faisait plus d'effet s'envoyer un l'air avec une bonne intraveineuse d'héro, fumer des pétard comme des clopes, car il ne sentait même plus le goût des clopes, se rafraîchir la gorge avec de la vodka, manger une fois tout les deux jours, s'il y pensait, comater le reste du temps, se dire qu'on va faire une overdose et y laisser sa peau cette fois, comme sa putain de mère, mais non. Alors viens la descente, le gros bad trip, où tu te dit que même sous morphine tu t'es jamais tapé un truc pareil. Alors les yeux déchirés, la gueule de travers, tu vas tabasser le premier passant qui se ramène, de toute façon tu ne connais même plus la signification du mot douleur, tu récupères ses thunes, et tu vas voir ton dealer, à partir de là, tu peux retourner six lignes en arrière et te refaire le film. Jusqu'au jour où tu te fait choper par ces connards de flics. Alors après avoir passé trois ans dans des rues crasseuses, dans des squats puant la sueur, la pisse, la merde, et le sperme, au sol jonché d'aiguilles usagées et de capotes touées, tu te retrouves dans une cellule avec juste un peu de peinture écaillée, comme dans la chambre de l'oncle Johnny, et là c'est le pied, sauf que t'es trop déchiré pour t'en rendre compte, et tu seras probablement plus jamais en état de t'en rendre compte.

Après avoir passé un ans avec des loques baveuses et des super-excités en manque dont il faisait lui même partie, Trent se sauva du centre de désintox, pour retourner dans la rue où il retrouva d'ancienne connaissance, alors que l'un d'entre eux, quel était son nom déjà? Lui proposa un rail, Trent lui enfonça son poing dans les bouts de cartilage désagrégés qui lui servaient de nez. Une baston, normal quoi. Il allait se faire cogner une fois de plus, il se ferait peut-être même prendre par un pédé, puis ça passera, tout passe. Une bouteille vient s'écraser contre sa tête, et Trent s'effondre dans le ruisseau, et l'eau du caniveau lui goule dans les lèvres et se mêle à son sang. Alors que l'un des mecs commençait à baisser son futal, Trent disparu, mais comment une telle bande de shooté peuvent en être vraiment sur?

Une histoire assez terrible, mais un style d'écriture violent qui correspond parfaitement !
Bienvenue !

Ton histoire est tragique et violente, ça me plait bien, alors bienvenue à toi Trent.

Je confirme la critique des autres: ton style est intéressant mais en tant qu'administrateur du forum, je me dois de te faire quelques remarques.

J'apprécie quand tu interloques le lecteur mais le registre de langue est trop grossier pour moi. Bon, on me dira, c'est pour mieux rendre la violence, et caetera, mais c'est beaucoup trop vulgaire. C'est subjectif, mais je te parle plus en tant qu'admin que critique: la vulgarité, c'est surtout dans le role play, et encore, c'est un forum public.

Relis donc ton histoire à partir du troisième paragraphe et édite. Si t'as besoin de moi pour éclaircir ta lanterne, bah demande-moi.

Nan, nan pas besoin d'aide...En fait je craignais un peu de devoir passer par là...

Mais bon, je voulais contraster un peu (beaucoup!) avec l'ambiance générale.

Donc bon, je vais pas mentir, ça m'embête de devoir retoucher à mon texte, mais je ne suis pas mon personnage: je ne rejette pas toute forme d'autorité!

Je réécrirais (pas ce soir!) donc les passages les plus vulgaires et explicites, bien que je pense que ce soit ce qui fait toute la saveur du texte...


Merci à vous, Uchdrydd et Sephiria pour votre accueil.

Personnellement, je pense que tu ne devrais pas borner la saveur du texte aux jurons. Et ce contraste avec l'ambiance générale (en effet encore trop ingénue ) ne me déplaît pas. Sinon, tu n'es pas un elfe?

Mais je ne la borne pas aux insultes et à la vulgarité, relis bien le texte

Sinon, je ne suis pas un elfe, non. Mon avatar à les oreilles pointues, mais je ne suis pas un elfe!

Un problème avec les elfes ? tsss

L'aviation, oh je vais l'aimer !
Enfin, surtout le joueur.

Bienvenue, idée de pouvoir intéressant. Au plaisir de te lire

Pas borné aux vulgarités, vrai, mais le registre a quand même son importance.

Rien contre les elfes, Aravilar, juste contre les joueurs qui prennent un avatar d'elfe sans mentionner explicitement qu'ils ne le sont pas dans leur fiche.

Bienvenue, Trent!

Pauvre Dupont, saisi de frayeur au moindre signe de quoi que ce soit d'elfique ... mouahahahahahahaa mais pourquoi donc ?

Au pire, ce n'est pas par ce que mon perso à les oreille pointue qu'il est elfe...

Bon, j'ai pas encore la version refaite, j'y travail.

Bon, aprèstout ce temps, j'ai retapé l'histoire, en en faisant une version légèrement moins "malpolie"...
Dis-moi si ça va Dupont, où si je dois aller encore plus loin...


PS: ceux qui veulent la version "non-censurée" peuvent me la demander par mp^^

Bon... Je t'avouerai que j'ai quelque peu zappé de confirmer ta fiche... Mais pour moi c'était ok, ta nouvelle version passe parfaitement...
Donc ba... Bienvenue en Atlantide !


PS : Je ne suis admin que depuis qualque temps, et je n'ai donc pas eu la chance de connaitre ta version "non censurée"... Et je suis assez curieux à ce sujet ^^.
Donc je veux bien la récupérer !!!

Ha bon? bah en même temps la version actuelle n'est pas extrêmement censurée non plus...^^ mais ok je te l'envoi!