Cour du gymnase (pour l'IDA)

Morgan eut un frisson dans le dos et des sueurs froides, ainsi qu'un violent tremblement. Comment pouvait-il savoir? Elle lui jetta un regard haineux et, lorsqu'il y eut l'action provoquée par Linaord, elle alla se cacher derrière d'autres élèves pour se faire discrète.

Lianord vit Morgan se cacher .

* Tu as raison de te cacher . *

Lianord regarda autour de lui , il fit un pas en direction du général mais resta hors de portée du lance flammes .

" Bon et maintenant on va rester comme ca pendant l'éternité ? "

Demanda t'il ironiquement .

A Aravilar:

"Merci mais ça ira, n'intervenez plus, je saurai mater ces crises d'adolescence moi-même."

Oui, il se réservait ce plaisir. Il lâcha le lance-flammes et se tint juste devant Lianord. Il envoya son poing dans l'abdomen d'Aseka. Vampire ou pas, il se cambra assez: il posa le canon de son pistolet sur la nuque d'Aseka et appuya sur la gâchette. Bruit aigu, rappelant un silencieux. Aseka ne ressentit qu'un picotement, mais un fatal: un minuscule objet de métal aiguisé se trouvait maintenant dans son corps. Koonan rengaina son arme.

"Ne parle pas d'éternité. Avec cette bombe dans la nuque, ne compte pas sur l'immortalité. Un seul mot, une seule formule ou un seul geste (il montra un détonateur), et je fais sauter ta tête comme un pétard, avec feu d'artifice d'hémoglobine.

Maintenant, regarde le sol et fais-moi ces 200 pompes."

Il regarda son chronomètre: "ENCORE HUIT MINUTES!" [pour les autres pensionnaires, rejoignez le sujet des tunnels que je vais bientot créer^^]

Lianord n'obéit pas , mais il ne fait aucun geste brusque ou non , vu que le général était nerveu .

" Sans vouloir vous vexer j'aurai du mal à les faire , je n'ai jamais pu en faire une seule , j'ai des problèmes de dos . "

* Enfin pas tout le temps , mais je peux pas faire ca sans me faire mal au dos . *

" Je ne peux pas en faire une seule , alors 200 , et de toute façon , je les ferai pour avoir dit bonjour a une amie , c'est ridicule , maintenant cette bombe , vous pouvez l'enlever , ca sert a rien . "

Nombre de messages : 30 Pouvoir : Magicas Date d'inscription : 11/03/2007

Las, l'elfe regardait la scène, et bien que patient de nature, il trouvait déjà que le temps perdu en ce lieu était un prix bien chèr pour sa volonté d'aider Atlantis. Il ne bougea cependant pas un muscle, ne cligna même pas un oeil.

Silence. Regard Noir. Puis le général esquissa un sourire. En moins de trois secondes, il était déjà recroquevillé sur lui-même. Rires aux éclats.

"Tu... tu sais pas faire de pompes? En... en t-treize ans d'expé... d'expérience, aucun vampire me l'avait jamais faite, celle-là!"

Son front se ridait de plus en plus et il pleurait preque de rire. Soudain, son visage se figea et il redevint silencieux. Visage devenu aussi impassible qu'avant.

"Bon, petit rigolo, comme je suis pressé, tu vas faire la plonge. Demande le chemin aux monsieurs (bref regard en direction des soldats), j'ai à faire."

Il se tourna vers Aravilar:

"Excusez-moi, j'ai du vous faire perdre un temps monstrueux. Je vous écoute. Mais peut-être voulez-vous une bière avant de parler boulot?"

Nombre de messages : 30 Pouvoir : Magicas Date d'inscription : 11/03/2007

L'elfe lança un regard perforant comme une flèche à son interlocuteur.
"Je n'aurais rien contre votre proposition, cependant vous devriez apprendre à connaitre vos interlocuteurs avant de leur proposer quelque chose qu'il pourrait estimer être une insulte. Si cependant vous ètes disposez à me servir quelque chose de plus raffiné, je ne dirais pas non. Pour ce qui est de mes recherches, le sujet est assez vaste, et il nous serait plus commode d'être assis."
Il lui penait d'être aimable avec un humain, cependant la sécurité d'Atlantis était une des rares choses qui lui importait. Et puis ... ce cher Koonan avait au moin la trempe suffisante pour subordonner ses semblables.

"Quel ego, plaisanta Koonan. Venez avec moi, les stocks du gymnase sont un peu modestes."

[Direction... A suivre. Razz

]

Le lendemain...

Le général Koonan se tenait déjà prêt, debout, impassible et rigide, à six heures du matin... avec son éternel café à la main. Il attendait les morveux, qui viendraient cette fois-ci plus nombreux, il en était sûr.

A 6h02 exactement, Koonan put appercevoir une silhouette qui se détachait dans les rayons du soleil levant. L'aube, ce matin-là, était magnifique: on pouvait voir, comme en hiver à la surface, les nuages rose-orangés par le soleil; le ciel bleu pâle contrastait avec cette palette de couleurs. Les pieds de la silhouette foulaient une herbe fraîche, couverte de rosée; çà et là, quelques lambeaux de brume se détachaient doucement. C'était en effet, un matin seplendide; mais curieusement, la température n'était pas adaptée à ce temps, il régnait en effet une douce tiédeur: c'est là qu'on pouvait voir le synthétique du temps, créé par les météorologues Atlantes.
Enfin, à contre-jour, on put reconnaître Marylin Abu al-Hadj. Elle marchait, doucement, avec une légèreté que depuis longtemps elel n'avait eu: sa fatiue commençait à partir, au profit d'une santé revenant avec bonheur.
La Directrice de Nenkin Amé s'approcha du... Colonel? Sergent? Soldat...? Elle ne se souvenait plus. Mais sa présence n'était qu'une visite de routine; rien de plus.

"Bonjour, Monsieur Koonan, je m'appelle Marylin Abu al-Hadj. Je usis la directrice de Nenkin Amé. Je viens faire une visite afin de voir comment se déroulent vos cours; je ne vous dérange pas?"

Hélène Da Silva arriva, d'un pas peu assuré, sans la compagnie d'Anda qui n'avait rien à voir à tout cela.
L'esprit salua Oswald Koonan ainsi que Marylin Abu al-Hadj.
Elle approcha du général pour s'excuser de sa tenue sûrement pas réglementaire :

"Excusez-moi pour être vêtue d'une robe mais je ne peux l'enlever ... Elle est collée à moi depuis ma mort ... J'espère que ce n'est pas gênant."

Elle utilisait des termes assez puériles comme "collée" et bien d'autre smots, accentués par une voix timide de petite fille alors uq'lle avait vu passer deux siècles ...

Séphiria arriva en courant, elle revenait du dortoir des psychokénèse et était très fatiguée, et cela du bien évidement à une insomnie et à un malaise.

"Bonjour, je suis Séphiria Soma."

Elle essaya de rester droite et rigde mais hélas sa nuit blanche l'avait beaucoup affablie, ses épaules commencèrent à "tomber" suivit de sa tête.

Raphaël arriva en même temps que tout le monde, c'est à dire à l'heure. Le jeune homme était vétu d'un kimono et portait son sac en bandouillère auquel était toujours agrafé sept origamis en forme de fleurs. Il n'était pas fatigué malgrè l'entraînement tardif de la veille. Au contraire, il semblait trés bien éveillé. Il observait ces personnes inconnues d'un oeil attentif...

*Roy est absent...*

Ce fut sa première pensée. Puis il constata que l'autre vampire n'était pas présent non plus, ce qui lui remonta le moral. Il remarqua la directrice et l'autre gourde de fille qui n'avait rien trouvé de mieux que de venir en robe. Il avait déjà rencontré ces deux femmes. Enfin, il remarqua la belle japonaise qui lui était complêtement inconnue.

Roy arriva d'un pas pressé. Il ne s'arréta même pas près de son ami mais fonça droit sur le général.
"Général Koonan, il est 6h du matin, le soleil ne s'est pas encore levé, mais si on reste dehors, d'ici une heure ou deux je me métamorphose en steak haché trop cuit ! Je vous demande donc de faire les exercices soit dans les sous-sol du Gymnase, soit dans le gymnase même, mais dans ce cas il faudra que les rideaux ne laisse passer aucun rayon de soleil... Et je me permet de poser un ultimatum car il en va de ma vie : Si dans 45 minutes aucune mesure n'est prise pour assurer la santé de nous autres vampires (d'ailleurs je remarque que Morgan n'est pas ici, peut-être est-ce le même problème que moi qui la taraude), je me dispenserai de paticiper à ces entrainements..."
Le jeune homme avait vomit sa tirade d'un trait, stressé par l'aube approchant. Depuis qu'il était à Nenkin, le vampire était heureux, et avait, par conséquent, peur de sa seconde mort. Il était accepté par les autres en tant qu'élève à part entière. Il avait retrouvé une vie. Il avait des amis qu'il pouvait aller voir sans peur d'être rejetté du fait de sa malediction, et il vivait quelque part où les gens était prêt à faire des efforts pour permettre aux vampires de vivre le jour.
Roy se retrouva donc face au général, attendant sa réponse.

Morgan arriva à ce moment là. Elle regarda les gens, ne salua personne, mais fit un regard étrange à la directrice; elle s'adossa à un arbre, et répondit à Roy lorsqu'il avait évoqué son nom. Elle réussit à parler d'une manière normale, mais peu de temps après sentit une chaleur sur ses joues; cependant, heureusement rien n'apparut surson visage pâle.

"Je ne crains pas la lumière, moi. Aucun problème de ce côté."

Louis marchait donc en direction de la sortie de la ville. Il n’avait aucune idée de ce qu’il faisait, il souhaitait simplement s’entretenir avec le maître des lieux, il en apprendrait sûrement plus sur ce lieu. De plus, l’espérance ne cessait de croître dans le cœur de Louis, et s’imposait à sa perception comme un renouveau. En effet, espérait-il : *si je le retrouve, peut-être que je pourrai la soigner…*
Quand brusquement, une bulette spéciale s’imprégna sur la truffe de son loup, et finit par grossir sur la truffe froide de l’animal. Louis voulut l’en séparer, mais tous ses efforts furent vains. La bulette, après avoir pris sa forme définitive, éclata. Louis distingua toutefois des lettres surnageant autour de lui. Il tenta d’en subtiliser une, qui s’effaça au toucher. Il chercha à en attraper quelques unes qui s’effacèrent inéluctablement. Puis, il comprit qu’il s’agissait en fait d’un message, qu’il tenta de décrypter :

Mr Mangeme,

e gouvernement d'Atlantis m'accordant le droit de désigner à ma guise les futurs membres de l'Initiation à la Défese d'Atlantis (I.D.A.), je vous ai choisi pour intégrer ce movement citoyen formant la jeunesse à la protection de notre gloreuse cité. Peuvent participer les mineurs étudiant à Atlantis et vous correspondez au profil recherché par l'Armée d'Atlantis.

Rendez-vous dans les prochaines 2 heures à compter de l'audition cette bullette dans la cour du gymnase près de enkin Ame. Passé ce long délai, vous serez interdit de séjour dans la Bulle aurée sauf si vous présentez des excuses convaincantes à l'Armée d'Atlantis. Nous vous laissons donc le choix: poursuivre vos études de dons surnaturels et de cursus plus général à Atlantis en aidant temporairement la Cité ou quitter la Bulle azurée. De gentilles mesures prises par le gouvernement quelque peu radical, vous en conviendrez.

Pour plus d'informations sur l'I.D.A, nous répondrons à toutes vos interrogations avec patience et plaisir. Nous vous devons bien cela.

Cordialement, votre cher Général O. Koonn

Louis eut subitement une impulsion. Il y avait en lui un tel désir de savoir… qu’émergeait en son être un espoir étrange. Il voulut savoir comment se rendre au gymnase, et observa à la suite de cela un phénomène bien étrange. Toute la ponctuation du message inscrit dans la bulette et deux « i » voletant près de Louis, formèrent une étrange composition, une espèce de flèche qui indiquait une direction. Louis, intrigué, la suivit finalement, jusqu’au gymnase, ou avait été donné le rendez vous. Louis fit finalement son apparition auprès des autres. C’est à ce moment-là que la flèche disparut. Il projeta un sourire évasif et se retourna vers les autres élèves. Puis, sans trop user de réfléxion, il devina qui parmi eux était celui qui l’avait convoqué. Il fit un sourire un peu gêné aux autres élèves et les salua d'une voix minuscule : "Bonjour, je m'appelle Louis..." Il resta prostré quelques secondes, le visage fixe, et le teint un peu pâle ... et alla se présenter discrètement au général. La voix tiède, et pincée, il se présenta donc : « Général O. Koon, je suis l’élève Mangeome, vous m’avez convoqué, je crois… Je suis disposé à travailler pour vous… Mais j’aimerai savoir… je… avant cela… si je… euh… j’aimerai savoir si je… »

"Tant que vous restez spectatrice et silencieuse, vous ne me dérangerez pas."

Il fit léviter une chaise en plastique jusqu'à la directrice.

"Je n'avais pas prévu votre arrivée. Je n'ai que ça à vous proposer."

Il parlait d'une voix sèche qui ne semblait transparaître aucun humour ou agacement particulier. Il salua ensuite les deux nouvelles d'un hochêment de tête puis écouta la tirade du vampire. En voilà un qui en avait, du culot!

"Trinity, j'apprécie beaucoup vos métaphores et votre langage militaire, mais laissez-moi vous rappeler qu'ici, le diplomate, si j'ose dire à cette heure de la journée peu propice aux brillants discours, c'est moi. Celui qui pose des ultimatums, c'est moi.

Et ne me prenez pas pour un con! Même si je ne vous blaire pas et que je vous porte pas dans mon coeur, je vais pas vous laisser crever. J'ai veillé à ce que l'éclairage artificiel de la Bulle azurée diminue ce matin. Et puis ça fait aussi plaisir aux centrales de magies et aux usagers qui voyaient leur facture grimper. Alors ne me dites pas ce que j'ai à faire et retournez dans le rang!"

A tous les jeunes:

"Vous avez entendu? Formez-moi un rang!"

A Louis:

"Et vous aussi! mais grouillez-vous d'accoucher votre phrase!"

Nombre de messages : 132 Age : 33 Date d'inscription : 12/05/2007

Mélie arriva silencieusement, peu contente d'etre là.
aussi se fondit elle dans la masse sans rien dire, en esperant que le général ne la verrai pas et qu'elle pourrait simplement écouter.

cet endroit me donne la chair de poule, a moins que se nesoit l'affreux capitaine qui me fassse cet effet...

Séphiria obéit aux ordres, mais elle savait pertinement qu'elle pouvait tombé dans les vappes à tout moment.

"Oui Monsieur."

Elle se tint droite comme elle put, elle n'aimait pas les militaires, mais ce service elle devait le faire ou elle serait expulsé de la ville et ça elle ne pouvait pas se le permettre.

"Je voudrai parler au directeur de l'école... Enfin si celà se fait, j'aimerai lui parler... " Il resta un peu prostré devant son général quelques instants, attendant impatiemment sa réponse.
Puis, voyant que le général était en permanence actif, il se tourna vers son loup, lui caressa le museau et tendrement son cou sensible.
Ils finirent par rejoindre tous les deux le rang, comme tout le monde, et attendirent patiemment la suite.
Une fois en position, il regarda à sa gauche qui lui faisait face à présent, il s'agissait de...

Uchdrydd avait entendu qu'il fallait se rendre obligatoirement dans la cour du gymnase, et s'y était rendu, mais non sans mauvaise foi. Il était bien décider à partir dès que cet "IDA" lui semblerai trop long . Il ne savait pas vraiment de quoi il s'agissait.

En arrivant il vit un attroupement de personne avec devant un homme à la carrure imposante en habit militaire .
Il avait déja envie de partir. Toute sa vie il avait méprisé tout ce qui se rapportais à l'armé . Crachant sur l'autoritarisme, il avait eu droit à quelques sejours en prison et quelques passage à tabac pour son manque de coopération.

Il se dirigea vers la foule, étudiant cuaque visage de son regard glacial . Il se tint à une distance suffisante du militaire pour ne pas véritablement saisir le sens de ses paroles.

Marylin sourit, pris la chaise et s'assit.

"Cela m'ira très bien, merci beaucoup; je me suis assise sur bien pire que cela. Je ne dirai mot; seuls mes yeux participeront activement à votre réalisation. Merci de m'accueillir parmis vous, et je m'excuse, d'ailleurs, d'arriver à l'improviste."

Sa tirade, Marylin en fut très fière; pas une seule erreur de vocabulaire, une phrase recherchée, polie, où son accent arabe s'entendait juste ce qu'il flalait pour rentre le tout élégant; vraiment, elle était ravie.

Hélène Da Silva fit de gros yeux. Sa tenue n'avait pas l'air de déranger, tant mieux ! Elle se mit en rang et fit une mine triste.

*Qui aurait cru que je finisse ainsi ...*

Elle voulut pleurer pour avoir eu la malchance d'être demander à ce cours et en voyant le comportement sans coeur de l'homme qui les commandait et qu'elle ne connaissait pas.

Louis entendait qu'on sanglotait près de lui. Il chercha qui sanglotait et aperçut à ses cotés la très belle Hélène. Il voulut s’approcher d’elle pour la consoler, mais son loup l’avait devancé d’un temps et était déjà près d’elle. Louis laissa faire son compagnon, et ne fit qu’observer son ami. Le loup se frotta tendrement à la robe de la femme, tandis que son maître observait un temps de réflexion.
Il resta à sa place bien sagement, et attendit patiemment les instructions. Il se demandait ce que l’armée d’Atlantis pouvait faire des services bien faibles qu’il pouvait leur apporter. De plus, le maladroit général n’avait toujours pas répondu à sa question, et Louis se demandait à présent ce qu’il faisait véritablement ici. *Pourquoi devrais-je rester ? Après tout, il se peut que je ne trouve rien ici…* Il fit un pas en arrière en direction de la sortie du gymnase, quand il se souvint la promesse de l’ange. Elle lui avait promis qu’elle l’aiderait. Il se devait au moins d’honorer cette promesse, en attendant patiemment qu’elle revienne. Car, s’il partait maintenant, tous les efforts de l’ange seraient anéantis.

Il attendrait douloureusement son retour.

Il se mit en tailleur, baissa sa tête lourde, et examina quelques pensées. De toute façon, pour le moment, le général était trop occupé.

Marylin se souvint alors des propos du jeune homme avec son loup. Elle se redressa, se leva, et s'approcha de M. Mangeome.

"Vous vouliez me parler...? Pardonnez-moi, j'ai entendu dire que vous vouliez parler au directeur... C'est moi. Parlez, je vous écoute."

Elle regarda le loup s'approcher puis la "frotter" tendrement. Elle sourit et sécha ses quelques larmes. Elle vit qu'un jeune garçon observait le loup, elle supposa alors qu'il était son maître. Puis, elle se rappela qu'elle les avait vu tous les deux, ce qui confirma sa pensée.
Elle se baissa pour caresser le loup puis lui dit à l'oreille de retourner chez son maître par peur que le sévère homme qui les survelle s'énerve.
Elle sourit ensuite à Louis Mangeomme.

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