arrivée un peu embarrassante... quoique...

Des éclaboussures jaillirent de la fontaine pour inonder le hall, et une silhouette parfaite s'effondra sur le sol. Quelqu'un venait d'arriver. La femme nue était allongée par terre, des filets d'eau ruisselant sur ses courbes gracieuses. Elle leva la tête, se recoiffa d'un geste expert de la main, et se releva sans même tenter de dissimuler son corps encore dégoulinant. Son expression changea du tout au tout lorsqu'elle s'aperçut du décor.

Le Jacuzzi ? Il est où ? Et Nicolas ? C'est à ce moment qu'il devait rentrer pour me...! Je comprend rien ! pensa-t-elle.

Restant plantée au milieu du vestibule, elle parcourut du regard la salle afin d'y découvrir quelques informations sur sa position.

Mélie ariva, en tant que fille, ce spectacle n'aurait pas du la choquer, mais elle ferma les yeux, chanta rapidement quelques notes, de musiqe, et fit apparaitre une serviette de toilette qu'elle tendit rapidement a la belle arrivante.

-escusez moi, je suis encore novice, je ne fais guerre mieux...

elle se retourna pour laisser la femme se draper.

La jolie blonde resta bouche bée face à la matérialisation de la serviette avant de reprendre ses esprits et de répondre, l'air hautain, en laissant tomber le linge :

"Ca ira, j'ai l'habitude..."

Heu non, pas pour vous, mais pour les autres, enfin pour moi surtout...

Elle n'avait jamais vu une autre fille qu'elle nue, et ce spectacle la choquait, elle esperai vivement que la feune femme aux formes florissantes accepterai la serviette.

elle n'a pas l'air tres commode, plutot hautaine d'ailleurs, ha, quelle présomptueuse...enfin:

Bienvenue!

La jeune femme répondit à l'élève sans même lui jeter un regard :

"Pffff... Petite nature" et s'empara de la serviette pour s'en servir de paréo. "Et sinon, on est où exactement ?"

Tu sais, chacun a sa facon de vivre ici, respecte au moins ca s'il te plaît.

Elle aurait bien aimé que la jeune fille ai honte, qu'ele se cache entierement derriere sa serviette, et mélie regretta de ne pas encore savoir faire des vetements convenables...

Je crois que nous sommes a NenkinAme, une école de "magie" ou chaque eleves a un don et est ici pour le develloper. Nous sommes sur les vestiges d'atlantis, sous l'eau, et si tu es la, tu dois forcément avoir un qelquonque pouvoir en matiere de magie.

Quand elle eu terminé sa longue tirade, elle respira un grand coup etavala sa salive.

Mélie regarda le jeuen homme d'un air ahuri:
Il la reluquait, s'arretait pile la ou il ne fallait pas, et la jeune fille ne semblait nullement génée, aussi, quand il lui tendit sa veste, Mélie vit que c'était presque a contre coeur.

Vous etes dans une ecole de magie, vous possédez un don, répéta t elle,
Allez dans le bureau de la directrice, elle se fera une joie de vous acueillir.

Elle allait tourner les talons, mais elle fit volte face:

Et aussi, mettez vous des vetements convenable, se serait plus pruent contre les...Voyeur...

Elle jeta un coup d'oeil au jeune homme, maintenant géné.

"Bonjour jeune homme... Ca fait plaisir de oir qu'ici, des gens proposent leur aide, et ne l'imposent pas !" dit-elle en foudroyant Mélie, apparemment choquée de la réaction plus que naturelle de Nikolaï, du regard.
"Et bien je dois l'admettre, il serait peut-être préférable de me couvrir un minimum (mais vraiment minimum) pour aller voir la directrice." elle s'empara délicatement de la veste avec un sourire avant d'ajouter :"merci beaucoup beau ténébreux. Cela ira le temps que je trouve autre chose à me mettre. Elle réfléchit un instant. Auriez-vous l'amabilité de m'indiquer l'infirmerie, je demanderai à l'infirmière si elle n'a pas une blouse à me préter..."

Nikolaï regarda la plus jeune des demoiselles. Elle avait l'air d'une reine fusillant son prince car il regardait trop les servantes. Ce jeu du regard l'amusa beaucoup, et ce fut presque avec regret, qu'il vit (apparament, c'était une infirmière) la... femme-médecin se vêtir de sa veste; celle-ci était suffisament longue pour la couvrir jusqu'en-dessous des fesses, mais juste: ainsi, lorsqu'elle marchait, on pouvait voir quelques détails croustillants.

"Je... Euh, ça vous dérange si je vous accompage? C'est que je suis un peu paumé, ici: euh... Car, c'est ma petite soeur qui avait un pouvoir, et pas moi, alors euh... Si c'est bien l'endroit dont avaient parlé mes parents, alors euh... Ben, vraisemblablement, j'ai un pouvoir, alors? Fin bref... Je peux venir?" minauda-t-il.

L'infirmière concentra tout son charme pour répondre au garçon :

"Bien sûr ! C'est à vous que je parlais, et non à mademasoille ! Mais puisqu'elle est la seule d'entre nous à savoir où se trouve l'infirmerie, nous allons devoir nous contenter de sa présence... Elle jeta de nouveau un regard furieux à la jeune fille pour ajouter : Alors ?! Elle est où l'infirmerie, j'ai pas toute la journée ! Quant à toi ,dit-elle à Nikolaï, Que dirais-tu de m'accompagner, une fois que je serais habiller convenablement, pour ne pas choquer Mademoiselle, chez la directrice afin d'éclaircir ton problème en même temps que le mien ? Et ne t'en fait pas... Je te rassure, je suis persuadé que tu as des pouvoirs très puissants, à commencer par ton pouvoir de séduction..." Sur ces paroles elle passa le bout de sa langue sur ses lèvres avec un soupir très sensuel.

*Olà. Faut que j me calme, là, tout de suite. A Quoi je pourrais penser... Tiens, aux vomis de ma petite soeur qu'elle faisait sur moi. Ou... Oh, mon dieu, ça ne marche pas, viiite, penser, ne pas penser, ooooh, ooh.....*

Nikolaï sentit ses cheveux se hérisser sur sa nuque. Il ne dit rien, regarda la divinité devant lui, vécu presque le passage de langue qui lui electrisa une partie de son corps qu'il maudissait à cet instant précis. Et il n'avait plus sa veste.

"ca, pour être puissant..." dit-il.

*Mais qu'est-ce que je dis???? de quelle puissance je parle, môa? Eh mer**, devant une gamine en plus, olàlàlà, et comment elle me regarde, j'ai intérêt à me tirer vite fait et... mais, qu'est-ce qu'elle regarde lààà? Oh, pu*in, pu***, pu***....*

Le jeune homme ne se sentait plus. Cette femme l'excitait litéralement, et si la jeune fille -il ne savait toujoursp as les prénoms- n'était pas là, il aurait sauté sur la nymphe devant lui.

Il se passa sa main derrière sa nuque, fit un pauvre sourire *Avale ta salive, imbécile* et bégaya:

"M-m-mais oui, euh... infirmerie, oui... Y aller..."

*Je sens que je vais être souvent malade...*

Mélie fit une courte révérence a celui qui avat posé la question.

Mélie Syl'Kayan, pour vous servir, appelez moi mel' si l'envie vous en prend, mais pour vous jeune dame, se sera Mélie, toujours.

Au fait, puisque vous le demandez si gentillement, l'infimerie se trouve...

Elle eu envie de lui dire
MAIS FOU***MOI LE CAMPS !!!!

Mais elle termina sur sa lancée:
... de l'autre coté, au bout du couloir. Et d'un geste, elle lui désigna le fameux couloir.

Elle n'aimait pas se faire des ennemies, encore moins des nouveaux arrivants, et elle espera de tout son coeur que la jeune fille et elle se pardonneraient un jour;Aussi, pour se rattrapper, (bien qu'elle n'eusse rien fait de mal), elle dit d'une voix symptahique:

Escusez moi jeune dame, si vous voulez, appelez moi Mel'.

Et sur ce, elle rougit de la tete au pieds.

"Je me contenterai de Mélie. Dit Katarina à l'adresse de la jeune fille. Elle reporta ensuite son regard sur Nikolaï. Allons-y mon chou. Je vous suis.



[HRP on : suite à l'infirmerie, je vous laisse poster. HRP off]

*Bon. Mélie et Katarina. Les diminutifs, c'est pas trop mon truc, alors... Me contenterai de ça. Bref.*

Nikolaï remarqua alors que Mélie, depuis tout à l'heure, lançait des éclairs à Katarina. Il se sentit légèrement mal à l'aise, surtout que l'infirmière était plus âgée que lui. Enfin, c'était pas trop gênant, ça se voyait pas trop et... Mais ferme ta bouche, Nikolaï!!

Il se racla la gorge.

"Eh bien, Mélie, on t'abandonne Katarina et moi et... euh, ben, à bientot, quoi."

Puis, il suivit Katarina (il avait fait exprès, pour Mélie, de ne pas racourcir le nom de l'infirmière) tout en glissant à l'oreille de la jeune fille, avec un clin d'oeil:

"Hé, pas besoin de toute cette bienséance: on n'est plus au moyen âge. Détends-toi!"