Arrivée d'alex vlidheim

Vers midi , un jeune homme aux cheveux longs et blonds habillé d'un longue cape de cuir noir ainsi qu'un blouson serré avec quelques partie métalliques , il porte a sa ceinture de nombreuses chaînes , fit sont apparition à l'entrée du vestibule . Ce garçon aux apparences agressives se révélât au contraire plutôt pitoyable .
Visiblement mal alaise , il n'ose parler a personne et reste seul , intimidé par ce nouvel environnement qui s'offre a lui.
Quand il reprit un peu d'assurance il dit avec un ton tremblant :

" S'il vous plais ,quelqu'un peut m'aider ? Je m'appelle Alex , je ne sais pas ce que je fais ici ."

Charles Pandore passait par le hall, toujours pour faire les mêmes allé-retours entre la pension et la bibliothèque. Lorsqu'il vit ce garçon mal à l'aise, il comprit immédiatement.

*Un nouveau... métalleux *

" Bonjour jeune homme. Qu'est-ce que je peux faire pour toi ? "

Malgrè une certaine nerveusité apparente, Charles prenait un ton sympathique couronné d'un sourire chaleureux. Sa question n'avait évidemment pas de sens puisqu'il savait déjà quel était le problème du nouvel arrivant.

Visiblement soulagé par l'arrivée d'une personne , une assurance incertaine apparue momentanément sur le visage du jeune homme.

"Merci beaucoup de faire attention a moi , je me sent très étranger à cet endroit .Je voudrais savoir ce que je fais ici et ou dois-j-j-je al-al-aller."

L'assurance disprarue aussi vite qu'elle était arrivée mais la chaleur de son interlocuteur rassura un peu Alex.

" Du calme, du calme.. " murmura le professeur Pandore.

Il reprit d'une voix forte, tendant une main à serrer.

" Je m'appelle Charles Pandore, et tu es dans l'école où j'enseigne. Tu t'es réveillé ici pour deux raisons : la première est que tu es rentré en contact avec de l'eau. La deuxième est que ... mh comment dire... N'as-tu jamais rien remarqué d'annormal... heu... chez toi ? "

Alex pris et serra vivement la main de Charles Pandore et dit:"

Chez moi ? Euh.... oui il y a quelques heures , juste avant de me réveiller ici , un longue queue reptilienne est apparue l'extrémité de mon dos et mes mains sont devenuent griffues et écailleuses , c'est de cela dont vous voulez parlez je suppose."

Un léger sourir apparut sur le visage d'Alex la peur séda la place à la curiosité.

" Oui c'est de cela dont je parle. "

Charles sentit un certain soulagement s'imprégner en lui. Le nouveau ne semblait pas trop appeuré par son étrange transformation, il était donc temps de lui expliquer où est-ce qu'il se trouvait.

" En fait, tu n'es pas le seul à subir ce genre de bizzareries, tous ces gens là se retrouvent un jour ou un autre téléporter dans cette ville. Tous ceux que tu vois autours de toi - le professeur ouvrit grand les bras, embrassant le hall tout entier - ont une espèce.. mmh... d'annomalie comme on dit à la surface. Ici tu vas pouvoir apprendre à te contrôler, ainsi qu'à connaître l'immense communauté magique chassée par les hommes de la surface. Bienvenue à Atlantis ! "

*Houlà Charles, tu vas bientôt pouvoir te recycler en publicitaire *

Après un instant de réflexion le jeune homme passat la main dans ses cheveux et dit :"
C'est donc cela ! J'aime mieux ça . Je pensais avoir affaire à je ne sais quelle secte bisarre . Vous me voyez bien soulagé.
Où dois-je me rendre pour me loger ?"

" Ici, les gens sont classés selon leurs pouvoirs et j'ai jamais vraiment compris pourquoi d'ailleurs Toi, tu m'as l'air d'être un Mysticel. Transformation en lézard, c'est bien un truc de Mysticel ça, ajouta Charles pour lui même. "

Il se marmonna quelques autres paroles incompréhensibles avant de se taire complêtement, le regarde vide. Apres quelques secondes de blanc, il s'exclama soudainement :

" Ah ! Ca y est, je me souviens où c'est. Il te suffit de suivre le couloir qui débouche ici - il pointa son doigt dans cette direction - et tu continues à monter les escaliers. Au fait heu... Il faut que je te parle d'autres choses aussi... "

La voix du professeur avait soudainement baissé, comme-ci le sujet qu'il allait évoquer était tabou. Charles regarda autours de lui afin de s'assurer que personne ne les espionnait, puis continua :

" Depuis quelques temps, comment dire... Atlantis est sous le contrôlle de gens avec de mauvaises attentions. Personne ne fait rien pour les virer, c'est une véritable collaboration ! On se croirait en France il y a 65 ans... Bref, ne fais confiance à personne ; même pas à moi. Et aussi, si t'as un problème, je suis professeur et directeur des Magicas, tu pourras me trouver facilement. Si je suis pas dans la pension, c'est à la bibliothèque. Okay ? "

Gabrielle Martinez arriva et entendit quelques chuchotements de la part de Charles Pandore. Cepndant, elle n'avait pas entendu ce qu'il disait.

"Tiens ! M. Pandore ! Ravie de vous revoir."

*Sûrement en train de vouloir mettre cet élève contre l'Inquisition ... Ca ne m'étonnerait même pas ...*

Elle ne dit rien de sa pensée, ne voulant pas offencer à nouveau le professeur.

Elle se tourna vers le nouvel arrivant et dit :

"Bonjour. Je me présente, je suis Gabrielle Martinez, professeur sur les civilisations anciennes ainsi que propriétaire de la boutique de magie. Et vous ?"

" Bonjour Mlle Martinez. "

Charles marqua une pause puis dit à l'adresse de sa collègue :

" Alex vient d'arriver ici et est fatigué. Je pense qu'il vaille mieux de lui montrer son dortoir. "

" Je m'en occupe ! " ajouta-t-il précipitamment.

Il ne tenait vraiment pas à ce que la professeur tienne à alex des discours opposés aux siens.

"Est-il au moins en Magicas ? Si non, il est impossible pour vous de l'accompagner ... du moins, vous aurez des difficultés ..."

Elle souria comme une hypochrite, un sourire forcé car elle voyait bien qu'il voulait intégrer ce jeune homme dans sa "société secrète" contre l'Inquisition alors qu'il ne faisait qu'arriver ... Elle plaignait le nouvel arrivant.

"Laissez-le au moins se présenter."

Charles surenchérit du tac-au-tac.

" Je suis directeur des Magicas, pensez-vous que le rêglement m'interdise de me ballader librement dans la pension ? Je sais où ce trouve son dortoir, et Alex s'est déjà présenté... "

Il affichait un mine sévère, espérant ainsi faire taire la professeur qui semblait avoir bien vite compris les objectifs de Charles.

Haut au plafond, un être vicieux et malintentionné les espionnait. Il hoqueta alors, à la manière des poules:

"Hoooo, les professeuuuuurs, ils se dispuuuuuutent, y'a de la tension dans l'aiiiiiir !!!"

Il surgit alors devant eux, leur fit un sourire mauvais et cria d'une voix perçante:

"On dit bonjour à Waaaaldooooo! Nihihihihiâââââârk! Mouahahahahaha!"

Il s'enfuit alors, riant à la manière de la mouette rieuse de Gaston.

Gabrielle énervée, agacée par les remarqes d'une personne inconnue se décida de lui en faire voir de toutes couleurs si elle le revoyait. De plus, il avait l'air ridicule à travers ses réflexions.

Elle regarda à nouveau le professeur.

"Bien, Monsieur le directeur des Magicas mais à votre place, je serai un peu plus agréable. De plus, je dois y aller donc au revoir, je vous laisse vous occupez de ce nouvel arrivant en espérant que vous ne l'embêterez pas trop avec certaines histoires."

Elle salua le nouvel arrivant et le professeur avec sourire.

*Maintenant, je vais retrouver cette personne.*

Terrifié par ce tourbillon de paroles nouvelles et par cette dispute le jeune blondinet aux airs macabres s'écarta et devint blème comme si il avait vu la mort en face.
Le temps semblait ne plus avoir d'importance autour de lui .

Tout a coup , il repri conscience que des gens l'entouraient et cria de tous ses poumons :" Aaaaaaaaaaaa
Je j..je je suis désolé je n..ne suis pa..pas abitué à tout cette présence humaine .
Qui sont c'est personnes et d'ailleur ou suis-je ? Ah oui c'est vrai a Nenkin Ame , tous ces boulversements d'un coup me perturbent vraiment beaucoup d'autant plus que j'ai l'habitude de passer mes journées seul chez moi .

Il se tu et fi mine d'écouter .

Charles Pandore, dont l'attention avait été détourné par le départ de sa collègue et l'irruption de l'esprit frappeur, sursauta lorsque le nouvel élève cria. Il le considéra lentement du regard, puis marmonna :

" Vous ne préférez pas plutôt passer par l'infirmerie ? "