Aide de Gabrielle

Lianord qui avait réussis à porter Louis qui s'était évanoui jusqu'a la boutique de magie , entra assez difficilement .

* Je vais encore passer pour un assoiffé de sang . *

Le loup de Louis les avait suivit , il était inquiet , Lianord le voyait bien , il cherchait un endroit pour allonger Louis , il trouva une sorte de lit dans l'arrière boutique .

* C'est marqué interdit d'entrer , mais pour chercher Gabrille vaut mieu qu'il soit allongé . *

Le loup regardait Louis d'un regard inquiet , c'était très attendrissant . Lianord se mit à genoux .

" Tu t'inquiètes pas , il ne lui arrivera rien , je ferai ce que je peux pour l'aider . "

Dit il en le caressant . Il se releva et alla cherchr Gabrielle .

* J'avais déjà pas assez d'ennuis avec le général , il pense déjà qu'il faille m'éliminer , il a une faux prétexte la , mais je pense pas que ca l'interesse que le prétexte soit juste ou faux . *

Gabrielle Martinez revint de la salle cachée et vit un loup et un jeune homme allongé.

*Que se passe-t-il ???*

Elle courut vers l'individu et regarda le loup qui semblait inquiet.
Le teint du jeune homme palissait à vue d'oeuil. Il était sûrement tombé dans les pommes suite à une douleur. Mais où pouvait-il avoir mal ? Instinctivement, elle toucha le ventre au niveau de l'estomac. La visage de Louis exprimait à présent la douleur et il se recroquevilla automatiquement.
Le professeur sourit, fier d'elle. Elle avait trouvé. Cependant, elle ne voyait pas comment le soigner. Soudain, une lumière jaillit dans son esprit. Elle se releva et alla chercher quelques plantes médicinales qu'elle mélangea avec beaucoup de vigueur. A la fin, cela donnait une mixture verdâtre qu'il ne voudrait sûrement pas avaler si il était réveillé.
Elle souleva la tête de Louis Mangeomme et le fit avaler la mixture qui n'était pas très consistante en sorte qu'il puisse l'avaler.
Elle attendit l'effet avec patience.

" Il va s'en sortir ? "

Demanda t'il inquiet .

" Je savais pas ou l'emmené ailleurs , et j'avais pas envie qu'on me soupconne encore d'un truc que j'ai pas fais . "

Dit il pour dissimuler son air inquiet .

* En plus il est gentil , et pour une fois j'ai rien fait . *

" Que puis je faire ? "

Demanda t'il en voulant aider , il n'avait même pas prété intention a son propre état .

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Un instant avant qu'il ait bu la boisson, la main de Louis qui était posé sur son torse, était devenue grisâtre, et la couleur commencait à se propager sur la partie infèrieure de son bras
Dès lors qu'il eut ingéré la mixture verte, son bras reprit sa couleur normale, en un instant.
Louis avait un goût amer à la bouche.
*Quel goût amer, c'est une horreur cette boisson* pensait-il sur le coup de la surprise verdâtre.
Louis sommeillait encore un peu. Bien qu'il ne soit pas en mesure de marcher sur ses deux jambes, sa douleur avait quasiment disparue, et son coeur battait à nouveau normalement.
Il releva sa tête doucement, ouvrit un oeil à demi et regarda son environnement. Il fut surpris de remarquer cette femme, tenant l'affreuse mixture de l'extremité de ses doigts fins. En effet, la mixture résidait dans une espèce de tube.
Louis manquait encore un peu de force, aussi reposa-t-il sa tête, et entreprit de dormir un moment.
Il attendrait d'avoir repris des forces pour l'interroger. Louis, dans son sommeil, fit un rêve : Il se vit agenouillé, autour il pouvait observer une grande brume fine, devant et derrière lui.
Il marcha dans la brume, jusqu'à son réveil.

Elle avait observé la main de Louis avec attention.

Gabrielle salua et répondit à Lianord :

"Bien sûr qu'il va s'en sortir ! Pourquoi ne devrait-il pas s'en sortir ? Et, je ne vois pas ce que vous pourrez faire... Ah si !"

Elle tendit les objets qui avaient servi à faire la mixture :

"Nettoyez-les, s'il-vous-plaît. Il y a un lavabo derrière le comptoir."

Ne connaissant pas l'individu, elle demanda à Lianord quand il termina la tâche de nettoyage :

"Comment s'appelle-t-il ? Quel pouvoir a-t-il ? Pourquoi ce loup est ici ?"

Il oébit et lava les tubes .

" Il s'appelle Louis , il n'a pas de pouvoir , mais ce loup est son ami , il le suit partout , et je n'ai rien a voir avec ca . "

Lianord vit que Louis était sauvé , il était épuisé , il tenait presque plus debout , il se retourna alors vers la sortie de la boutique , quand il aperçut quelque chose par terre . Il s'agissait d'une photo que Lianord avait fait tombé , il la ramassait , quand il la regardait , les larme lui montaient dans les yeux .

* Quoi que je fasse , je serai toujours un Vampire , elle ne sera comme moi . *

Il rangea la photo de cette fille , et ferma les yeux pour éviter de pleurer . Il alla voir Louis .

" Il est sauvé , je suis content de le savoir sain et sauf . "

"Louis comment ? Et je sais bien que vous n'avez rien fait."

Elle vit les yeux de Lianord, vitreux.

"Vous êtes trop sentimental."

*Encore son histoire de coeur je suppose.*

Elle chercha rapidement un drap léger pour couvrir Louis.

"Normalement, je n'es pas le droit de prodiguer des soins sans l'autorisation d'un médecin ou d'un infirmier. Mais paraît-il qu'il n'y en a pas sans l'institution."

Louis se réveilla après un long repos concédé.
Il ouvrit les yeux, tourna sa tête à sa droite, il ne vit rien qu'un mur, à sa gauche, il aperçut Lianord qui caressait affectueusement son fier loup blanc. Il sortit un bâillement de sa bouche, porteur de signes encourageants : En effet, la douleur avait cessé en même temps que ses toussotements violents.
Le corps flottant, il se leva du lit que Lianord lui avait trouvé, et observa son nouvel environnement : Il se trouvait dans une petite chambre ou se trouvait des objets de toute espèce, rangés minutieusement.
Il tourna la tête et remarqua à l’extérieur de la salle, une femme assise sur un grand tabouret en bois, lisant un ouvrage assez poussiéreux.
Il se retourna vers Lianord et son loup blanc, s’approcha de Lianord discrètement. Il ne l’avait pas encore vu, il était trop concentré sur ses pensées vagabondes et sur son loup au pelage magnifique, qu’il fut surpris d’entendre Louis : « Bouh, lui chuchota-t-il à l’oreille »
Il y eut véritablement un effet de surprise.

Marylin arriva en courant dans la boutique. Toute la place en parlait: un jeune homme mystérieux accompagné d'un loup blanc était malade, dans la Boutique de Magie. La directrice avait le visage tordu d'inquiétude; en plus de ses lourdes cernes et de son teint cadavérique, elle n'avait vraiment pas bonne mine. Elle manquait cruellement de someil; voilà plusieurs nuits qu'elle ne dormait pas, pluieurs repas qu'elle sautait, plusieurs... décilitres de sang qu'elle perdait: une sorte de maigreur malsaine se révélait sur ses bras et son visage émacié; sa poitrine n'était plus ferme et délicatement bronzée comme quelques moins plus tôt, mais tombante, la peau transparente, applatie; la Juive avait perdu tout son charme.
Elle entra en trombe dans le magasin.

"Que se passe-t-il? Quel est ce jeune homme accompagné d'un loup...? Louis, c'est cela? Que lui est-il arrivé?" demanda-t-elle, parlant fort, essoufflée, mâchant ses mots.

Elle n'avait même pas regardé le malade; elle avait les yeux hagards, et on ne savait pas trop ce qu'elle voyait réellement; ni Lianord, ni Gabrielle; ses yeux vitreux ne fixaient rien.

En entendant la tentative de Louis pour le surprendre , lianord sursauta , il était encore légérement perdu dans ses pensées .

" Tu es pas humain de me faire des frayeurs pareils . "

La directrice entra , Lianord la regarda .

" Je ne tiens pas à être tenu pour responsable , je vais donc vous laisser , en revoir Louis . "

Dit il en lui serrant la main .

" En revoir Gabrielle , en revoir Madame . "

Dit il à Gabrielle et à la directrice . Il se retourna vers le loup et la caressa .

" Salut toi , prends soin de ton maitre , il est fragile . "

Sur ces mots dit en souriant , il sortit de al boutique , en utilisant les quelques forces qui lui restait .

*Merci Lianord...*

"Il est guéri mais je ne sais pas ce qui s'est passé ..."

Elle regarda la directrice qui n'était pas en bonne santé. Elle chercha rapidement une fiole avec une étiquette "Recupération momentanée".

"C'est à mettre dans une boisson : eau ou jus de fruit. Je crois que vous en avez besoin. Si vous en avez encore besoin, il faut attendre une semaine. Vous avez de la chance, ce liquide a un très bon goût par rapport à la mixture que j'ai fourni à Louis."

Louis fit un signe de la main à Lianord pour le saluer. Le fier loup blanc était revenu près de son maître depuis qu'il était réveillé.
Il avait suivi Lianord jusqu'à la sortie de la boutique, et avait ensuite retrouvé son maître.
Louis le regarda dans les yeux un instant, et lui caressa le col doucement.
Ils eurent tout deux un moment de tendresse, qui fut troublé par l'arrivée en fanfare, tout à fait inattendue, de la directrice.
Tout deux concernés épièrent ces faits et gestes, à l'unisson. Ils avaient ce rapport complice qu'ont parfois les amis, et les frères.
Lorsque Louis vit l'apparence dans lequel se trouvait la directrice, il fut horrifié.
Il se précipita vers elle pour l'aider, l'aida à marcher jusqu'au lit, et enfin se tourna vers Gabrielle, qui l'avait devancé d'un temps.
Louis eut soudainement une idée, qui lui parut cohérente, et il se tourna d'un bond vers Gabrielle pour une confirmation : "Dites-moi mademoiselle, l'eau de la fontaine, sur l'ancienne place, conviendrait-elle à la fabrication de votre mixture?"
Tout juste venait-t-il de se réveiller, qu'il recommencait déjà à s'exciter. Il était déjà sur le pas de la porte, et attendait la réponse de la magicienne.

Marylin s'assit sur le lit. Elle avait le tournis. Faudrait peut-être qu'elle se repose, un de ces jours. Elle s'empêcha de fermer les yeux: elle s'endormirait à l'instant. Surtout le genre de chose à ne pas faire devant une collègue et un élève. Un peu de noblesse, que diable! La directrice regarda la fiole que lui tendait Mme Martinez. Elle fut touchée de son implication. Quoique très méfiante de la médecine (chez elle, l'hygiène, ce n'était pas encore ça), elle prit la fiole.
Elle faillit s'étrangler lorsqu'elle vit Louis soudainement pétant la forme. Elle toussa bruyament, rougissant, les larmes aux yeux: elle avait tout de même avalé de travers.

"Mais... Theu, theu! Que... Je suis navrée mais... Theu, theu! Qu'est-ce qui se passe? Je... ne comprends vraiment rien du tout!"

Louis était éberlué, et confondu. Elle avait bu la fiole, sans la diluer avec de l'eau, ou une boisson quelconque. Ces potions là auraient portés atteinte à un homme d'une excellente vitalité, et sa directrice venait de boire la potion sans la mélanger.
Il revint près du lit et s'assit à coté de sa directrice.
Il la regarda droit dans les yeux, et l'air penaud lui dit : "C'est bon?"

[Je n'avais pas bu ^^]

Marylin avait le teint rouge. C'était déjà mieux que le transaprent blanchâtre qu'elle traînait depuis plusieurs jours. Elle regarda la fiole. Vide! Mince, elle avait oublié qu'elle devait la diluer, et en plus, elle avait bu d'un trait... Tout d'un coup, un énorme fourmillement aux jambes la prit, et elle se leva d'un bond. Toujours rouge, elle dit, d'une voix très forte et très accentuée:

"Ah! Mais, ze n'est bas maufais du dout za!"

Puis, la directrice se rendit compte de sa bourde, et murmura quelques mots en pointant un doigt sur elle-même. Instantanément, elle se rassit sur le lit, maussade. Elle fit un grand sourire.

"Sort de neutralisement doux", dit-elle.

Louis fixa un moment sa directrice, dont il ne savait pas que c'était sa directrice, et le regard rempli d'une curiosité, tenta de deviner quel était son pouvoir: « Laissez-moi deviner... Vous disposez, par coïncidence, d’une force psychique, et d’un grand dynamisme. D’après ces deux indices, je vous verrai bien télékinésiste, car je sais de source sure que votre pouvoir a quelque chose à voir avec votre esprit. Je ne vous imagine pas du tout télépathe. Votre regard vous trompe trop, il vous serait inutile d’avoir un pareil don. Je serai surpris, vraiment, que vous ayez un tel don. Peut-être n’avez-vous pas de pouvoir. »
Se rendant compte qu'il s'agissait aussi d'une partie de sa vie privée, il parut alarmé, et lança quelques mots qui dissimulaient une certaine gêne : "Mais... mais il se peut que je me trompe. Toutes mes excuses madame... mademoiselle... je comprends si peu de choses du pouvoir..."

*Je suis sur que cette femme-là peut m’aider. Je ne sais pas pourquoi, je le sens.
Il y a quelque chose de si particulier, en elle.*
Louis gardait une position similaire depuis quelques instants, ses yeux n’étaient pas tournés vers un espace défini. De sorte qu’on ne pouvait pas clairement distinguer ce qu’il observait.
Son loup était couché sur le parterre, et durant le même lapse de temps, il eut ses globes oculaires fixes.

Par nostalgie pour son pays, le Rû avait décidé de faire un tour à la boutique de Magie, afin d'y dénicher un objet enchanté breton, ce qui ne devait pas être rare, le grand Merlin étant lui-même originaire de ce lieu paradisiaque. A peine fut-il entré qu'il se trouva nez-à-nez avec un gros loup blanc. Un violent flash illumina la pièce, matérialisation de la surprise du Korrigan. Pour se venger de la surprise, le petit être, étonnement immature malgré ses plusieurs millénaires, tira subitement les oreilles de la bête avant d'effectuer un saut perilleux arrière avec vrilles qui le fit retomber juste devant le loup, pantalon baissé et postérieur à l'air à quelques centimètres de son museau...

Le loup blanc parut extrèmement vexé. Il poursuivit l'agile Korrigan dans toute la pièce afin de pouvoir l'attraper. En quelques secondes, le mal était fait.
Le loup avait bousculé uné étagère de boussoles et autres montres, avait écrasé de nombreuses fioles, avait mis le lieu dans un état déplorable.
Louis rougit de honte face à la gérante de la boutique, et anticipa sa colère salvatrice. Il allait quitter la pièce, quand le petit korrigan et son loup passèrent par le pas de la porte à toute vitesse, l'un sur les talons de l'autre. L'ordre se retournait parfois, créant une géante confusion quant à la situation.
Le korrigan était-il finalement le chasseur? L'effet d'optique dura quelques secondes.
Ils quittèrent à toute vitesse la salle, laissant Louis dans l'embarras. Mais il ne voulut pas perdre son loup de vue, aussi il s'excusa auprès de la vendeuse avec une voix melant embarras et honte extrème. Mais elle faillit le chasser à coup de balais.
Il partit en courant, à la poursuite de son loup.
Ils quittèrent la boutique de magie, et rejoinrent la grande place...
[Rhalala...]

Le Korrigan, bien entendu, avait prévu une réaction de la part du loup, mais certainement pas de cette ampleur. Après avoir saccagé la boutique de magie, lui et et son poursuivant arrivèrent à l'ancienne place.

HRP on : suite à l'ancienne place ! HRP off

[on est absent quelques jours et voilà ce qui arrive ... ^^]

Gabrielle Martinez avala de travers quand elle se rendit compte que la directrice avait bu le contenant de la fiole sans eau ou jus de fruit. Son visage passa par toutes les couleurs et finit sur un teint pâle.

"Comment allez-vous madame la directrice ?"

A peine eut-elle le temps de poser la question qu'un vacarme peu habituel se passa grâce au korrigan et au loup. La moitié de son magasin était dévasté. Elle s'asseya alors brutalement sur la chaise et ne réagit plus. Gabrielle se dirigea derrière une allée et cria de toute ces forces, avec une telle force que son cri faisait écho dans les rues d'Atantis. Elle n'avait jamais connu une telle catastrophe ! Elle revint près de la directrice, calmée.

"Qui est ce maudit korrigan ?"

En disant cela, son visage prit un autre teint : rouge par la colère accentué par un rictus.

Marylin se passa sa main sur son cou. Sa main était gelée. Cela apaisa sa gorge, elle allait déjà mieux. Les yeux grands ouverts, elle se leva d'un bond.

"Hihihi! Je vais beaucoup mieux! Hahaha!"

Elle commença à se tordre de rire. Les larmes aux yeux, elle tomba sur le lit. L'effet de la fiole était tellement concentré que ça avait fait n'importe quoi.

*Stop... Stop... Arrête-toi...*

Marylin revint dans une toux énorme, et parvint à dire:

"De l'eau..."

Elle n'avait rien saisi de l'énorme remue-ménage qu'avaient fait le Korigan et le Loup; et lorsque Gabrielle lui tendit un bon verre d'eau, elle réalisa combien sa conduite avait été idiote. Elle avait très honte. Elle manquait vraiment de someil; après une bonne nuit d'au moins 12 heures, elle aurait récupérer le quart de ce qui lui manquait. Marylin, honteuse, réalisa enfin que Louis et les autres étaient partis.

"Où... Où sont-ils?"

Pendant qu'elle donnait le verre d'eau, elle pensait :

*Elle devait vraiment être fatigué pour réagir ainsi ... Incroyable ... Souvent, les malades s'endorment pendant une journée entière mais se tordre de rire est peu habituel ...*

Elle fût tirer de son songe par la voix de Marylin calmée :

"Ils font une course-pousuite. L'ancien malade est en pleine forme apparemment ... et son loup aussi ... Et ce maudit korrigan est d'une stupidité étonnante."

Elle se leva et commença à ranger les livre, les boussoles et autres bibelots magiques en bredouillant des insultes en espagnol, en français et en anglais qu'elle avait appris au cours de quelques voyages.

"J'aurai dû les poursuivre, ils sont infernaux ! Je n'ai jamais vu des dégâts pareilles ..."

Il vallait mieux changer de conversation à présen, tout en continuant son rangement ...

"Au fait, madame la directrice, depuis quand êtes-vous dans cette institution ?"

Marylin émit un petit rire. Le Rû, à elle, lui paraissait bien sympatique, lorsqu'elle l'avait vu dans le bar de la Disco Zeus.
Au lieu de répondre à la dernière question de Gabrielle -La directrice avait la tête ailleurs-, elle demanda:

"Mais, si on poursuit Louis qui poursuit son loup qui poursuit le Korrigan, ce serait drôle, non?"

Soudain, la directrice se leva, atteinte d'une idée augrenue.

"Oui! C'est ce que je vais faire, un peu d'exercice ne me fera pas de mal!"

Poussant Gabrielle, courant vers la porte, elle courut au dehors. Dans sa folie, elle ne se rendait pas compte de l'aberration de son acte.

*N'importe quoi ! La solution a du lui laisser un impact dans son esprit !*

Elle courut donc pour rattraper la directrice prise, peut-être, d'une soudaine folie ...

*Je dois apparemment retarder mon départ en Egypte ...*

Elle soupira et ne pensa plus qu'à une chose : arrêter cette scène de poursuite ...

Gabrielle ferma donc sa boutique étant donné qu"aby n'était pas là.

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